SleepyHollow réalisé par Tim Burton était l'un des films les plus regardés en 1999 , alors que Personal Injuries de Scott Turow était l'un des livres les plus vendus. à la télé, les
Cela fait dĂ©jĂ 23 ans que Sleepy Hollow La LĂ©gende du cavalier sans tĂȘte, rĂ©alisĂ© par Tim Burton, est sorti au cinĂ©ma. En 1999, ce film fantastique adaptĂ© dâune nouvelle de Washington Irving Ă©tait interdit aux moins de 12 ans en salles et en a fait cauchemarder plus dâun. Et bien que la nouvelle originale ait Ă©tĂ© publiĂ©e en 1820, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte continue dâinspirer les amateurs de fantastique car une nouvelle adaptation en long mĂ©trage devrait voir le jour prochainement. En plus du film de Tim Burton avec Johnny Depp Pirates des caraĂŻbes et Christina Ricci Matrix Resurrection, Casper, la nouvelle horrifique a dĂ©jĂ Ă©tĂ© adaptĂ©e maintes fois en sĂ©rie 2013 pour la sĂ©rie Sleepy Hollow, et Ă©pisodes dĂ©diĂ©s dans des sĂ©ries comme Charmed, en court mĂ©trage, et mĂȘme en livre pour enfant avec Scooby-Doo Le mystĂšre du Cavalier sans tĂȘte de Jenny Markas 2008. Toutefois, câest un reboot du film qui devrait remettre Sleepy Hollow au goĂ»t du jour. Câest au studio Paramount que lâon doit cette initiative. DâaprĂšs Deadline, câest la scĂ©nariste Lindsay Beer, qui fait ses dĂ©buts de rĂ©alisatrice avec un prequel de Simetierre en post-production, qui devrait prendre la tĂȘte pas celle Ichabod Crane de lâĂ©criture de cette nouvelle version. Lindsay Beer, en contrat avec Paramount depuis quelque temps, est trĂšs demandĂ©e en ce moment et a travaillĂ© entre autres sur le prochain film Star Trek, le premier jet du remake de Bambi, le script du film Hello Kitty, la sĂ©rie The Magic Order, adaptĂ©e dâun comics de Mark Millar, ou encore le film Sierra Burgess is a Loser sur Netflix en 2018. Aucune autre information nâa encore Ă©tait donnĂ©e quant au scĂ©nario, au casting, ou Ă la date de sortie prĂ©visionnelle de ce nouveau film. Mais en plus dâĂ©crire et de rĂ©aliser le prochain Sleepy Hollow, Lindsay Beer devrait en ĂȘtre co-productrice avec Todd Garner Mortal Kombat et Spencer Walken. Affaire Ă suivre doncâŠ
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AlloCinĂ© DĂ©couvrez la biographie de Tim Burton Biographie Filmographie Top films/sĂ©ries Photos RĂ©compenses News VidĂ©os Ătat civil Biographie AprĂšs des Ă©tudes Ă la California Institute of the Arts, Tim Burton dĂ©bute chez Disney dans les annĂ©es 70, collaborant Ă l'animation de plusieurs dessins animĂ©s, dont Rox et Rouky. AprĂšs cette expĂ©rience, il fait ses dĂ©buts dans la rĂ©alisation par le biais de deux courts mĂ©trages, l'un d'animation Vincent, 1982, l'autre de facture classique, Frankenweenie 1984, parodie revendiquĂ©e de Frankenstein et des films de la firme 1985, Tim Burton rĂ©alise son premier long mĂ©trage, Pee Wee Big Adventure, qui plante dĂ©jĂ les bases d'un univers trĂšs personnel, oĂč le fantastique le dispute Ă l'onirisme. Trois ans plus tard, il se rĂ©vĂšle au grand public avec la comĂ©die Beetlejuice, fable fantastico-macabre dans laquelle Michael Keaton incarne un "bio-exorciste" totalement dĂ©jantĂ©. Il retrouvera le comĂ©dien pour Batman 1988 et Batman, le dĂ©fi 1991, le glissant dans le costume du cĂ©lĂšbre homme chauve-souris et dĂ©montrant par la-mĂȘme que son gĂ©nie crĂ©atif peut aussi s'exprimer sur des films dits "de commande".FidĂšle en amitiĂ©s professionnelles, Burton entame en 1990, par la romance fantastique Edward aux mains d'argent, une fructueuse collaboration huit films avec Johnny Depp. AprĂšs avoir donnĂ© au comĂ©dien le rĂŽle d'une invention humaine pourvue d'un coeur et de lames de mĂ©tal en guise de doigts, le cinĂ©aste ne cessera de lui offrir des prestations fortes et originales. Ainsi, Depp se glisse sous les traits du rĂ©alisateur de sĂ©ries Z Ed Wood 1994, fait tout pour percer le mystĂšre d'un cavalier sans tĂȘte dans Sleepy Hollow 1999, campe un inquiĂ©tant chocolatier dans Charlie et la chocolaterie 2005, adaptĂ© du livre pour enfants de Roald Dahl, et incarne le terrifiant barbier Sweeney Todd 2008 dans l'adaptation de la comĂ©die musicale de Stephen Burton parvient parfois Ă s'affranchir du fantastique pur et d'un cinĂ©ma trĂšs personnel bĂąti au fil des ans. Il emprunte ainsi un ton plus parodique avec Mars Attacks! 1996, qui narre une invasion extra-terrestre aussi tragique que dĂ©lirante, se penche sur l'exercice du remake avec La PlanĂšte des singes 2001, ou abandonne mĂȘme toute excentricitĂ© avec la fable douce-amĂšre Big fish 2003. ConsidĂ©rĂ© comme l'un des cinĂ©astes les plus inventifs de sa gĂ©nĂ©ration, Tim Burton est Ă©galement un producteur avisĂ©, notamment dans le domaine du film d'animation fantastique James et la pĂȘche gĂ©ante ; L'Etrange NoĂ«l de M. Jack ; Les Noces funĂšbres, qu'il rĂ©alise ; NumĂ©ro 9, etc.. En 2010, Tim Burton poursuit sa collaboration avec Johnny Depp et Helena Bonham Carter sa femme, rencontrĂ©e sur le tournage de La PlanĂšte des singes, en leur offrant deux des rĂŽles principaux de sa relecture d'Alice au Pays des Merveilles, oĂč il dirige la jeune Mia Wasikowska. AprĂšs cette production qui est l'un des plus gros succĂšs de tous les temps un milliard de dollars au box office mondial, le cinĂ©aste se plonge dans une libre adaptation d'un feuilleton des annĂ©es 60. Dans Dark Shadows 2012, il transforme ainsi Johnny Depp en vampire, dans une comĂ©die macabre oĂč la thĂ©matique de la malĂ©diction cĂŽtoie celle du disco...En 2014, avec Big Eyes, il change radicalement de sujet pour se lancer dans le biopic dĂ©diĂ© Ă Walter et Margaret Keane, peintres cĂ©lĂšbres dans les annĂ©es 60 pour leurs portraits dâenfants aux trĂšs grands yeux. Burton produit et rĂ©alise ce film, qui offre des premiers rĂŽles Ă Amy Adams et Christoph Waltz. 2016 marque le retour du cinĂ©aste dans le genre fantastique avec Miss Peregrine et les enfants particuliers. Burton raconte l'histoire de Jacob, un jeune homme qui dĂ©couvre les indices et lâexistence dâun monde mystĂ©rieux qui le mĂšne dans un lieu magique la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers. Mais le mystĂšre et le danger sâamplifient quand il apprend Ă connaĂźtre les rĂ©sidents, leurs Ă©tranges pouvoirsâŠet leurs puissants ennemis. Ce film marque la seconde collaboration du metteur en scĂšne avec Eva Green aprĂšs Dark Shadows. Ses premiers pas Ă l'Ă©cran Ses meilleurs films et sĂ©ries Sa carriĂšre en chiffres 5 RĂ©compenses 35 Nominations Genres de prĂ©dilection Fantastique 38 % Animation 23 % ComĂ©die 21 % Aventure 19 % Ses stats sur AlloCinĂ© 43 VidĂ©os 26 Photos 238 News A tournĂ© le plus avec Dark Shadows 2012, Alice au Pays des Merveilles 2010, Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street 2007, Charlie et la chocolaterie 2005, Les Noces funĂšbres 2004, Sleepy Hollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 1999, Ed Wood 1994, Edward aux mains d'argent 1990Dark Shadows 2012, Alice au Pays des Merveilles 2010, Sweeney Todd, le diabolique barbier de Fleet Street 2007, Charlie et la chocolaterie 2005, Les Noces funĂšbres 2004, Big Fish 2003, La PlanĂšte des singes 2001Dark Shadows 2012, Frankenweenie 2012, Alice au Pays des Merveilles 2010, Charlie et la chocolaterie 2005, Les Noces funĂšbres 2004, Sleepy Hollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 1999Alice au Pays des Merveilles 2010, Les Noces funĂšbres 2004, Sleepy Hollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 1999, Batman, le dĂ©fi 1992, Batman 1989Charlie et la chocolaterie 2005, Les Noces funĂšbres 2004, Big Fish 2003, La PlanĂšte des singes 2001Dumbo 2019, Batman, le dĂ©fi 1992, Batman 1989, Beetlejuice 1988Frankenweenie 2012, Sleepy Hollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 1999, Ed Wood 1994Frankenweenie 2012, Edward aux mains d'argent 1990, Beetlejuice 1988Mars Attacks! 1996, Hoffa 1992, Batman 1989Dumbo 2019, Miss Peregrine et les enfants particuliers 2016, Dark Shadows 2012Sleepy Hollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 1999, Ed Wood 1994, Beetlejuice 1988
En1996, 'Mars Attacks' critique de nouveau l'AmĂ©rique bien-pensante sur le ton de la comĂ©die mais 1999 orchestre son grand retour au conte fantastique avec le trĂšs visuel Sleepy Hollow. MĂȘme lorsqu'il rĂ©alise un film de commande, Tim Burton sait y ajouter des ingrĂ©dients inĂ©dits qui crĂ©ent la surprise, ainsi l'Ă©chec relatif de La
Tim Burton Tim Burton en 2012. Nom Tim Burton Date de naissance 25 aoĂ»t 1958 Lieu de naissance Burbank, Californie NationalitĂ© AmĂ©ricain Profession ProducteurRĂ©alisateurScĂ©nariste Modifier voir modĂšle âą modifier Timothy William Burton, couramment appelĂ© Tim Burton, est un rĂ©alisateur, producteur et scĂ©nariste amĂ©ricain nĂ© le 25 aoĂ»t 1958 dans la ville de Burbank, en Californie. Il a rĂ©alisĂ© de nombreux films. Souvent, il aborde le thĂšme de la mort dans une atmosphĂšre macabre mais empreinte d'humour. Cependant, dans ses films, la mort n'est pas toujours une chose triste. Nombreux sont ceux qui apprĂ©cient ses films pour leur beautĂ© et leur poĂ©sie. Ils mettent la plupart du temps en scĂšne un individu excentrique, mis de cĂŽtĂ© par d'autres personnes normales ». Biographie[modifier modifier le wikicode] AprĂšs avoir Ă©tudiĂ© au California Institute of Arts », Tim Burton est engagĂ© en 1979 comme dessinateur par les studios Disney. Mais l'univers de Disney Ă©tant trĂšs Ă©loignĂ© de son propre univers, il les quitte en 1984. Pendant cette pĂ©riode, il rĂ©alise plusieurs courts mĂ©trages. Il tourne ensuite son premier long mĂ©trage en 1985 ; son second film, Beetlejuice, rencontre un grand succĂšs en 1988. Depuis, il a notamment rĂ©alisĂ© Batman, Edward aux mains d'argent, Mars Attacks!, La PlanĂšte des singes, Charlie et la Chocolaterie, Alice au pays des merveilles et bien d'autres films. Tim Burton est influencĂ© par l'Ă©crivain Edgar Allan Poe dont il est un grand admirateur. Son acteur fĂ©tiche » est Johnny Depp ils ont tournĂ© huit films ensemble ; l'actrice Helena Bonham Carter son ancienne compagne avec laquelle il a eu deux enfants a aussi jouĂ© dans plusieurs de ses films. Johnny Depp. Helena Bonham Carter. Filmographie[modifier modifier le wikicode] 1985 Pee-Wee Big Aventure 1988 Beetlejuice 1989 Batman 1990 Edward aux mains d'argent Edward Scissorhands 1992 Batman Le DĂ©fi Batman Returns 1993 L'Ătrange NoĂ«l de monsieur Jack uniquement comme scĂ©nariste et producteur 1994 Ed Wood 1996 Mars Attacks! 1999 Sleepy Hollow La LĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 2001 La PlanĂšte des singes Planet of the Apes 2003 Big Fish 2005 Charlie et la Chocolaterie Charlie and the Chocolate Factory 2005 Les Noces funĂšbres Corpse Bride 2008 Sweeney Todd Le Diabolique Barbier de Fleet Street The Demon Barber of Fleet Street 2010 Alice au pays des merveilles Alice in Wonderland 2012 Dark Shadows 2012 Frankenweenie 2014 Big Eyes 2016 Miss Peregrine et les Enfants particuliers film 2019 Dumbo Liens externes[modifier modifier le wikicode] Filmographie dĂ©taillĂ©e et images Exposition Tim Burton Ă la CinĂ©mathĂšque française en 2012. Site officiel Source cette page a Ă©tĂ© partiellement adaptĂ©e de la page Tim Burton de WikipĂ©dia.
En1985, Tim Burton rĂ©alise son premier long mĂ©trage, Pee Wee Big Adventure, qui plante dĂ©jĂ les bases d'un univers trĂšs personnel, oĂč le fantastique le dispute Ă l'onirisme.
CinĂ©ma / ThĂ©atre, RĂ©alisateur Chargement...Laisser un commentaire CĂ©lĂ©britĂ© de nationalitĂ© AmĂ©ricaine Il est nĂ© le 25 aoĂ»t 1958 , AnnĂ©es 50 - Burbank Etats-Unis Souhaitez l'anniversaire de la star Tim Burton dans 361 jours. Elle aura 65 Burton [tÉȘm ËbÉtÉn] est un rĂ©alisateur, scĂ©nariste et producteur de cinĂ©ma amĂ©ricain, nĂ© le 25 aoĂ»t 1958 Ă Burbank Californie.Adepte du fantastique et influencĂ© par Edgar Allan Poe, il est largement reconnu comme Ă©tant bon conteur et graphiste. Il est rĂ©vĂ©lĂ© au grand public en signant la mise en scĂšne de Beetlejuice 1988, Batman 1989, Edward aux mains dâargent 1990 et Batman Le DĂ©fi 1992.Par la suite, il entame un cycle plus expĂ©rimental, en signant le film biographique Ed Wood 1994, la satire Mars Attacks! 1996 puis le remake La PlanĂšte des singes 2001, un Ă©chec opĂšre cependant un retour au sommet avec le succĂšs Big Fish 2003. Par la suite, il collabore avec les studios Disney, pour qui il rĂ©alise, Alice au pays des merveilles 2010, sa plus grande rĂ©ussite commerciale et un des succĂšs commerciaux majeurs de l'histoire du cinĂ©ma, et Dumbo 2019.ParallĂšlement, il rĂ©alise plusieurs adaptations dans un style plus gothique le film dâhorreur Sleepy Hollow 1999, la comĂ©die musicale Sweeney Todd Le Diabolique Barbier de Fleet Street 2007 puis les contes Dark Shadows 2012 et Miss Peregrine et les Enfants particuliers 2016.Ses acteurs fĂ©tiches sont Michael Keaton, Johnny Depp qu'il dirige Ă huit reprises, et Helena Bonham Carter, son ex-compagne et mĂšre de ses deux enfants. Depuis 2012, il travaille avec Eva Green, en premier rĂŽle, Ă plusieurs reprises. Il travaille souvent avec le compositeur Danny Burton produit et rĂ©dige Ă©galement le scĂ©nario de L'Ătrange NoĂ«l de monsieur Jack, rĂ©alisĂ© par Henry Selick, puis finance et corĂ©alise Les Noces funĂšbres et enfin coĂ©crit, produit et met en scĂšne Frankenweenie, trois films dâanimation utilisant la technique de l'animation en volume et des marionnettes qui Ă©voluent dans des dĂ©cors cinĂ©ma se caractĂ©rise par un dĂ©filĂ© de monstres et de crĂ©atures, ainsi que par un mĂ©lange d'humour noir, d'ironie et de macabre. Restant fidĂšle Ă son style, le cinĂ©aste explore plusieurs genres qu'il enchevĂȘtre par moments film d'Ă©pouvante, drame intimiste, conte, mĂ©lodrame, biographie filmĂ©e, film de science-fiction, comĂ©die, film d'Ă©poque, comĂ©die musicale ou encore film d'action. Ses histoires mettent en scĂšne des personnages marginaux ou des ĂȘtres hors-normes, face Ă la mĂ©diocritĂ© du monde. On y dĂ©cĂšle une grande influence du cinĂ©ma fantastique, du cinĂ©ma expressionniste allemand ainsi que des films de la Hammer Productions, Ă la fois pastichĂ©s et Burton fait partie des cinĂ©astes qui parviennent Ă concilier succĂšs critique et commercial. Il a Ă©tĂ© dĂ©corĂ© de l'insigne de chevalier et d'officier de l'ordre national des Arts et des Lettres par FrĂ©dĂ©ric Mitterrand en mars 2010 et fut le prĂ©sident du jury du 63e Festival de Cannes. Le MoMA de New York et la CinĂ©mathĂšque française Ă Paris ont consacrĂ© une grande exposition Ă son Ćuvre plastique et cinĂ©matographique, respectivement en 2009 et 2012,. Tim Burton a Ă©galement Ă©tĂ© le sujet de plusieurs biographies illustrĂ©es, notamment Tim Burton d'Antoine de Baecque 2006 et Burton par Burton de Mark Salisbury 2000.Source WikipediaPlus d'informations sur la cĂ©lĂ©britĂ© Tim BurtonQuel est le prĂ©nom de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?Le prĂ©nom de la personnalitĂ© Tim Burton est Tim. Le prĂ©nom, nom ou pseudo de la star dĂ©bute par la ou les lettres de lâalphabet b, est le nom rĂ©el ou complet de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?Le nom rĂ©el ou complet de la personnalitĂ© Tim Burton est Timothy Walter quelle ville est nĂ©e la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?La ville de naissance de la personnalitĂ© Tim Burton est Burbank. .Dans quel pays est nĂ©e la vedette Tim Burton ?Quel est la nationalitĂ© de la personnalitĂ© Tim Burton ?Quand est nĂ©e la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?Quel Ăąge a la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?La personnalitĂ© Tim Burtonest agĂ© de 64 est le signe astrologique du zodiaque de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?La star Tim Burton a pour signe astrologique du zodiaque est le signe astrologique chinois de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?La star Tim Burton a pour signe astrologique chinois est la taille de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?La star Tim Burton mesure est la couleur des cheveux de la vedette Tim Burton ?La couleur des cheveux de la star Tim Burton est est la couleur des yeux de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?La couleur des yeux de la star Tim Burton est sont les origines de la personnalitĂ© Tim Burton ?Les origines, les ancĂȘtres de la star Tim Burton sont est le mĂ©tier / l'activitĂ© de la cĂ©lĂ©britĂ© Tim Burton ?Tim Burton en photos
Filmsmettant en vedette Tim Burton, critiques et horaires de films. Connexion . Menu : Mes cinĂ©mas favoris. Ma filmothĂšque. Bandes-ann. Golden Globes. Oscars. Changer la ville. Contactez-nous. Mon compte. English. Partagez cette page Tim Burton. 63 ans . NĂ©. 25 aoĂ»t 1958 Burbank, California, Ătats-Unis. Prix. 1 nomination aux Golden Globes. 7.8. Sweeney
Le jeu simple et addictif CodyCross est le genre de jeu oĂč tout le monde a tĂŽt ou tard besoin dâaide supplĂ©mentaire, car lorsque vous passez des niveaux simples, de nouveaux deviennent de plus en plus difficiles. Plus tĂŽt ou plus tard, vous aurez besoin dâaide pour rĂ©ussir ce jeu stimulant et notre site Web est lĂ pour vous fournir des CodyCross Tim Burton a rĂ©alisĂ© Sleepy __ en 1999 rĂ©ponses et dâautres informations utiles comme des astuces, des solutions et des astuces. Ce jeu est fait par le dĂ©veloppeur Fanatee Inc, qui sauf CodyCross a aussi dâautres jeux merveilleux et dĂ©routants. Si vos niveaux diffĂšrent de ceux ici ou vont dans un ordre alĂ©atoire, utilisez la recherche par indices ci-dessous. CodyCross GrĂšce Groupe 668 Grille 1HOLLOW
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Dissertation: Tim Burton. Recherche parmi 274 000+ dissertations. Par RachelSa ⹠16 Février 2014 ⹠365 Mots (2 Pages) ⹠780 Vues. Page 1 sur 2. Tim Burton. Timothy Walter Burton, dit Tim Burton, est un réalisateur, scénariste et producteur américain né le 25 août 1958 à Burbank en Californie. Maßtre du fantastique fortement
Carte mentaleĂlargissez votre recherche dans UniversalisDes gouttes de cire rouge sang scellent un testament secret... Une diligence fend la nuit, conduite par un cocher dont la tĂȘte vient d'ĂȘtre tranchĂ©e... Les premiĂšres scĂšnes de Sleepy Hollow 1999 semblent sorties d'un musĂ©e de l'imagerie fantastique envahi par la poussiĂšre. Pourtant elles impressionnent, soutenues qu'elles sont par une croyance qui fonde tout le projet artistique du metteur en scĂšne Tim Burton qu'elle soit sombre ou enchanteresse, la fĂ©erie du cinĂ©ma appartient au passĂ©, mais elle ne vieillira jamais, car le passĂ© c'est l'enfance, et l'enfance est Ă©ternelle. Tous les personnages des films de Tim Burton, qui est nĂ© en 1959, se rattachent d'ailleurs aux rĂȘveries de sa propre enfance un superhĂ©ros apparu dĂšs les annĂ©es 1940 le mĂ©lancolique Batman, 1989, une crĂ©ature Ă la fois monstrueuse et douce qui bouleverse une petite ville amĂ©ricaine des annĂ©es 1960 Edward aux mains d'argent, 1990, ou encore un cinĂ©aste qui rĂ©alisait des films d'horreur de sĂ©rie Z dans les annĂ©es 1950 Ed Wood, 1994. De tous ses motifs de fascination personnels, Tim Burton a fait les inspirateurs d'un cinĂ©ma qui a gardĂ© de l'enfance, non la naĂŻvetĂ© ou la joliesse, mais la puissance d'imagination, et une facultĂ© d'Ă©merveillement qui se rattache Ă©troitement Ă la suspension of disbelief l'interruption de l'incrĂ©dulitĂ©, oĂč Coleridge voyait le principe de toute succĂšs retentissants obtenus par le cinĂ©aste montrĂšrent, d'un point de vue plus terre Ă terre mais essentiel pour sa libertĂ© au sein des studios hollywoodiens, Ă quel point il savait faire partager son goĂ»t pour certaines formes du passĂ©. Cette belle histoire avec le grand public tourna cependant au divorce avec Ed Wood, puis avec Mars Attacks ! 1997, parodie de la science-fiction des annĂ©es 1950 et de ses Martiens envahisseurs et sanguinaires. C'est donc remis en question, et sommĂ© de refaire ses preuves commercialement, que Tim Burton a choisi de tourner Sleepy Hollow, dont le scĂ©nario est dĂ» Ă Andrew Kevin Walker, l'auteur du thriller coup-de-poing Seven, rĂ©alisĂ© par David Fincher 1995.L'imagerie fantastique familiĂšre, qui ouvre Sleepy Hollow et s'y dĂ©ploie mĂȘme la vieille sorciĂšre des contes y est prĂ©sente, est ainsi renouvelĂ©e par le style de Tim Burton, mais aussi par une efficacitĂ© Ă laquelle le cinĂ©aste n'avait jamais autant veillĂ©. Elle gouverne d'abord les partis pris d'adaptation de la nouvelle de Washington Irving dont s'inspire le film, The Legend of Sleepy Hollow 1820, un des textes fondateurs de la littĂ©rature amĂ©ricaine. L'action en est situĂ©e dans une communautĂ© de colons hollandais du Nouveau Monde, oĂč Ichabod Crane, le maĂźtre d'Ă©cole venu de la ville, courtise Katrina van Tassel, la fille du fermier le plus riche du pays. Mais Brom, un autre soupirant de Katrina, se joue d'Ichabod Crane en lui racontant une lĂ©gende dont le hĂ©ros est un cavalier sans tĂȘte, puis en se faisant passer pour ce personnage imaginaire, ce qui terrorise Ichabod et le fait fuir. Dans le film de Tim Burton, le Cavalier sans tĂȘte n'est plus du tout un fantoche dont on agite la menace c'est un homme qui ne peut pas mourir, un dĂ©capitĂ© qui dĂ©capite Ă leur tour les habitants du petit village de Sleepy Hollow. Ses apparitions donnent lieu aux scĂšnes les plus spectaculaires, et le tranchant de son Ă©pĂ©e est d'une redoutable efficacitĂ©. Quant Ă Ichabod Crane interprĂ©tĂ© par Johnny Depp, acteur fĂ©tiche de Tim Burton, il est devenu un policier new-yorkais venu enquĂȘter sur les meurtres mystĂ©rieux de Sleepy Hollow, oĂč Katrina van Tassel Christina Ricci n'est plus longtemps courtisĂ©e par Brom, massacrĂ© Ă son tour par le Cavalier sans nouvelle de Washington Irving a donc Ă©tĂ© soumise Ă un principe d' extĂ©riorisation » de tous ses Ă©lĂ©ments, passĂ©s entiĂšrement du cĂŽtĂ© du visible dans le film de Tim Burton. Ainsi, la peur prend un visage, celui du Cavalier sans tĂȘte et de l'acteur Christopher Walken, dont quelques flash-back nous montrent qu'il fut, pendant la rĂ©volution amĂ©ricaine, un mercenaire allemand sanguinaire, ce qui renvoie en images Ă la source germanique de la nouvelle d'Irving, une ballade Ă©crite par le romantique G. A. BĂŒrger. Cette loi du tout voir » charge le film d'une violence visuelle qui en fait un des moins enfantins de [...]1 2 3 4 5 âŠpour nos abonnĂ©s, lâarticle se compose de 3 pagesĂcrit par journalisteClassificationArtsCinĂ©maCinĂ©matographies nationalesCinĂ©ma amĂ©ricainRecevez les offres exclusives Universalis
SleepyHollow - La lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte (Sleepy Hollow) est un film rĂ©alisĂ© par Tim Burton sorti en 1999. Il s'agit d'une adaptation cinĂ©matographique de la nouvelle La LĂ©gende de Sleepy Hollow de Washington Irving. Synopsis En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouvĂ©s dĂ©capitĂ©s. Les tĂȘtes
Carte mentaleĂlargissez votre recherche dans UniversalisUn merveilleux inquiĂ©tantLa mĂȘme sensibilitĂ© s'exprime dans Edward aux mains d'argent 1990, premier film tournĂ© avec Johnny Depp, qui va devenir une sorte d'alter ego du cinĂ©aste. Dans ce conte en images, le hĂ©ros est un garçon surnaturel qui fait des merveilles avec les ciseaux qu'il a pour mains, mais qui, par ses dons mĂȘmes, sera exclu du monde des hommes et retournera vivre seul dans sa maison gothique. Batman n'est pas si loin du tout-puissant justicier amĂ©ricain, Tim Burton a fait un ĂȘtre mĂ©lancolique, en proie Ă des traumas nĂ©vrotiques, hantĂ© par la mort, cloĂźtrĂ© dans le secret de sa double personnalitĂ©. Plus que l'action, oĂč il n'excelle pas, c'est l'exercice du portrait qui intĂ©resse le cinĂ©aste. Dans Batman Returns, il donnera libre cours Ă ce plaisir avec une galerie de crĂ©atures Ă©tonnantes dont les rencontres et les duels constituent la seule vĂ©ritable ligne narrative du film. Corps au croisement de l'humain et de l'animal, noirceur expressionniste des dĂ©cors Batman Returns tend vers l'abstraction comme vers le dĂ©voilement de pulsions Ă©tranges, mortifĂšres, derriĂšre un jeu de masques toujours marquĂ© par l'univers du cirque. Capable de donner une Ăąme au plus criant artifice les petits hommes verts de Mars Attacks !, mais aussi de rendre artificielle la moindre touche de rĂ©alisme dans Mars Attacks !, la comĂ©die strictement humaine n'est guĂšre rĂ©ussie, Tim Burton semble heureusement condamnĂ© Ă inventer encore et encore le cinĂ©ma qui pourra servir de cadre Ă son lui faut cependant prendre en compte un principe de rĂ©alitĂ© intransigeant le succĂšs public est le premier impĂ©ratif des studios amĂ©ricains, qui ont donnĂ© Ă Tim Burton les moyens de mettre ses rĂȘves en images, mais peuvent toujours les lui reprendre. Cette menace tacite s'est faite plus concrĂšte avec les Ă©checs commerciaux de Ed Wood, et surtout de Mars Attacks !, au budget nettement plus consĂ©quent. Sans renoncer Ă son goĂ»t pour une splendeur visuelle qui libĂšre la magie des songes, le cinĂ©aste a fait avec Sleepy Hollow, la lĂ©gende du cavalier sans tĂȘte 1999 un pas vers un cinĂ©ma plus nerveux, oĂč le rĂ©cit et les scĂšnes d'action gouvernent aussi l'attention du spectateur. AdaptĂ© d'une nouvelle de Washington Irving, The Legend of Sleepy Hollow 1820, un des textes fondateurs de la littĂ©rature amĂ©ricaine, le film nous transporte dans une communautĂ© de colons hollandais du Nouveau Monde. LĂ , un mystĂ©rieux cavalier sans tĂȘte semble se livrer Ă un rituel macabre en dĂ©capitant les habitants d'un petit village. Le jeune et innocent policier Johnny Depp qui vient mener l'enquĂȘte dĂ©couvrira peu Ă peu âles coulissesâ de ces dĂ©collations spectaculaires. ParallĂšlement, Tim Burton rĂ©affirme, derriĂšre des scĂšnes sanglantes, une sensibilitĂ© au monde de l'enfance et aux sentiments de solitude qui s'y rattachent. C'est aussi au cinĂ©ma de son enfance qu'il revient, Ă travers une esthĂ©tique qui rappelle parfois les fameux films fantastiques de la Hammer, tout en rĂ©alisant une Ćuvre pour le public d'aujourd'hui. Cette harmonie entre passĂ© et prĂ©sent est Ă©galement un des enjeux de son remake de La PlanĂšte des singes 2001, d'aprĂšs le roman de Pierre Boulle, dont furent tirĂ©s, Ă la fin des annĂ©es 1970, une sĂ©rie de films qui firent les beaux jours du cinĂ©ma commercial suite Ă Big Fish 2003, Charlie et la chocolaterie 2005 est une adaptation du livre de Roald Dahl, best-seller de la littĂ©rature enfantine des annĂ©es 1960. Ă l'occasion d'un concours, cinq enfants sont invitĂ©s Ă passer une journĂ©e dans la chocolaterie de Willy Wonka, un industriel excentrique, Ă nouveau interprĂ©tĂ© par Johnny Depp. Mais l'usine merveilleuse s'avĂšre pleine de dangers, et les enfants tombent l'un aprĂšs l'autre dans les piĂšges qui leur sont tendus. L'un des laurĂ©ats, Charlie, un petit garçon issu d'une famille pauvre, rĂ©ussira nĂ©anmoins Ă tirer tout le monde d'affaire. Les Noces funĂšbres 2005 est un film d'animation onirique et gothique inspirĂ© du folklore russe. Dans un village d'Europe de l'Est du xixe siĂšcle, le jeune Victor, pianiste promis Ă la fille d'aristocrates dĂ©sargentĂ©s, dĂ©pose, par mĂ©garde, la bague de fiançailles sur la branche d'un arbre de la forĂȘt qui n'est autre que le doigt d'une mystĂ©rieuse et ravissante mariĂ©e morte. Celle-ci s'anime et l'attire dans son royaume tandis que la fiancĂ©e l'attend Ă la la suite, Tim Burton rĂ©alise Sweeney Todd le diabolique barbier de Flee [...]1 2 3 4 5 âŠpour nos abonnĂ©s, lâarticle se compose de 3 pagesAfficher les 2 mĂ©dias de l'articleĂcrit par journalisteClassificationArtsCinĂ©maCinĂ©astes metteurs en scĂšne, rĂ©alisateursCinĂ©astes d'AmĂ©rique du NordCinĂ©astes amĂ©ricainsArtsCinĂ©maRĂ©alisateurs de films d'animationAutres rĂ©fĂ©rences BURTON TIM 1958- » est Ă©galement traitĂ© dans ALICE AU PAYS DES MERVEILLES T. BurtonĂcrit par Christian VIVIANI âą 941 motsDepuis ses premiers courts-mĂ©trages, Vincent 1982 et Frankenweenie 1984, les personnages de Tim Burton hĂ©sitent presque toujours entre l'enfance et l'Ăąge adulte ; jusqu'Ă prĂ©sent, seul Sweeney Todd 2007, oĂč le cinĂ©aste nous livre sa part obscure, apparaĂźt fermement campĂ© dans la maturitĂ©. C [âŠ] Lire la suiteCHARLIE ET LA CHOCOLATERIE et LES NOCES FUNĂBRES T. BurtonĂcrit par RaphaĂ«l BASSAN âą 1 076 motsĂloignĂ©s par le matĂ©riau utilisĂ© la mise en scĂšne traditionnelle d'une part, l'animation de volumes de l'autre et le propos apologue cruel sur la sociĂ©tĂ© de consommation contemporaine versus conte macabre gothique. Charlie et la chocolaterie 2005 et Les Noces funĂšbres 2005 font se croiser la plupart des thĂšmes et des figures plastiques qui caractĂ©ris [âŠ] Lire la suiteSLEEPY HOLLOW T. BurtonĂcrit par FrĂ©dĂ©ric STRAUSS âą 1 098 mots âą 1 mĂ©diaDes gouttes de cire rouge sang scellent un testament secret... Une diligence fend la nuit, conduite par un cocher dont la tĂȘte vient d'ĂȘtre tranchĂ©e... Les premiĂšres scĂšnes de Sleepy Hollow 1999 semblent sorties d'un musĂ©e de l'imagerie fantastique envahi par la poussiĂšre. Pourtant elles impressionnent, soutenues qu'elles sont par u [âŠ] Lire la suiteSWEENEY TODD, LE DIABOLIQUE BARBIER DE FLEET STREET T. BurtonĂcrit par Marc CERISUELO âą 901 motsĂ l'exception des amateurs Ă©clairĂ©s â au premier rang desquels se place Alain Resnais â, l'Ćuvre de Stephen Sondheim est encore trop mĂ©connue en France, et il y a malheureusement fort Ă parier qu'elle demeurera dans l'ombre tant la tradition du musical est Ă©loignĂ©e de nos habitudes culturelles. Aux Ătats-Unis, et en Grande-Bretagne, Sondheim est tout simplement considĂ©rĂ© comme [âŠ] Lire la suiteCINĂMA CinĂ©mas parallĂšles - Le cinĂ©ma d'animationĂcrit par Bernard GĂNIN, AndrĂ© MARTIN âą 17 835 mots âą 6 mĂ©dias Dans le chapitre Le long-mĂ©trage d'animation au tournant du XXe siĂšcle » [âŠ] Pendant des dĂ©cennies, le marchĂ© du long-mĂ©trage d'animation s'est quasi limitĂ© aux seules productions des studios Disney. Mais aprĂšs la mort de Citizen Walt », en 1966, on s'aperçoit que, d'annĂ©e en annĂ©e, la qualitĂ© des films baisse. Tout change au milieu des annĂ©es 1980, avec l'apparition de nouveaux cadres, dĂ©cidĂ©s Ă rajeunir leurs Ă©quipes et Ă intensifier la production. DĂšs lors, la cĂ©lĂšbr [âŠ] Lire la suiteCOMĂDIE AMĂRICAINE, cinĂ©maĂcrit par JoĂ«l MAGNY âą 5 218 mots âą 18 mĂ©dias Dans le chapitre L'hybridation des genres » [âŠ] Dans une pĂ©riode plus rĂ©cente, une autre personnalitĂ© a dominĂ© la comĂ©die amĂ©ricaine moderne, faisant triompher un humour juif » dĂ©jĂ illustrĂ© dans le domaine burlesque par les Marx Brothers au dĂ©but du parlant, Jerry Lewis ou Mel Brooks Les Producteurs , 1969 ; La Folle Histoire du monde , 1981. Woody Allen crĂ©e un personnage original Ă fort soubassement culturel dont il ne peut se dĂ©parer [âŠ] Lire la suiteDEPP JOHNNY 1963- Ăcrit par Universalis âą 653 mots Acteur amĂ©ricain nĂ© le 9 juin 1963 Ă Owensboro Kentucky. Johnny Depp de son vrai nom John Christopher Depp II abandonne l'Ă©cole Ă l'Ăąge de seize ans pour se lancer dans une carriĂšre musicale. Avec son groupe The Kids, il quitte la Floride, oĂč il a passĂ© la plus grande partie de son enfance, pour Los Angeles. En 1983, Johnny Depp Ă©pouse la maquilleuse Lori Anne Allison et continue de tenter sa [âŠ] Lire la suiteGONZĂLEZ IĂĂRRITU ALEJANDRO 1963- Ăcrit par Christian VIVIANI âą 1 095 mots âą 1 mĂ©dia Dans le chapitre Chute et rĂ©demption » [âŠ] Câest en Espagne, comme lâavaient fait CuarĂłn et del Toro, quâIñårritu va rĂ©aliser un film rĂ©solument diffĂ©rent, au scĂ©nario linĂ©aire et au style moins flamboyant Biutiful 2010, qui nâen prĂ©serve pas moins une bonne part de ce qui fait lâoriginalitĂ© du cinĂ©aste. Javier Bardem, symbole de la prĂ©caritĂ© humaine professionnelle, amoureuse, physique, voire mĂ©dicale, prolonge ce quâIñårritu avai [âŠ] Lire la suiteGOTHIQUE LITTĂRATURE & CINĂMAĂcrit par Gilles MENEGALDO âą 6 389 mots âą 5 mĂ©dias Dans le chapitre Le mythe transformĂ© le nĂ©ogothique » [âŠ] Ă la fin des annĂ©es 1960, Angela Carter commence Ă publier des rĂ©cits trĂšs originaux, fondĂ©s en partie sur une rĂ©interprĂ©tation ironique de motifs comme la maison gothique, espace domestique carcĂ©ral et aliĂ©nant pour la femme. Dans The Bloody Chamber and Other Stories 1979, elle réécrit des contes de fĂ©es canoniques comme Le Petit Chaperon rouge » ou Barbe-Bleue », symbole du pouvoir patr [âŠ] Lire la suitePORTMAN NATALIE 1981- Ăcrit par Universalis âą 770 mots Actrice israĂ©lo-amĂ©ricaine, Natalie Hershlag naĂźt le 9 juin 1981 Ă JĂ©rusalem, dâune mĂšre amĂ©ricaine et dâun pĂšre israĂ©lien, mĂ©decin spĂ©cialiste de lâinfertilitĂ©. En 1984, la famille part aux Ătats-Unis, pour finalement sâinstaller Ă Syosset Long Island, dans lâĂtat de New York. Elle travaille pendant une courte pĂ©riode comme mannequin avant de se tourner vers le mĂ©tier dâactrice et de dĂ©crocher [âŠ] Lire la suiteVoir aussiADAPTATION DES ĆUVRESBATMANRecevez les offres exclusives Universalis
TimBurton est un réalisateur de génie, capable de prouesses rarement égalées. Son domaine de prédilection est le style gothique, trÚs présent dans des films comme Edward Aux Mains D'Argent, Frankenweenie, Batman, et ce film, sorti en 1999, Sleepy Hollow.
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pour TIM BURTON de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres types d'aide pour résoudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots Croisés pour "TIM BURTON " 1 0 Suggéré par les utilisateurs Utilisateur Solution Lettres Anonyme Sleepy Hollow 13 Partagez cette question et demandez de l'aide à vos amis! Recommander une réponse ? Connaissez-vous la réponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
Quelleest filmographie de Tim Burton? Découvrez tous les films et séries de la filmographie de Tim Burton. De ses débuts jusqu'à ses projets à venir.
Tim Burton Le troubadour, conteur et crĂ©ateur dâunivers Johnny Depp dĂ©finit Tim Burton comme un artiste, un gĂ©nie, un excentrique, un fou, et ami brillant, courageux, drĂŽle jusquâĂ lâhystĂ©rie, loyal, non conformiste et franc du collier.» Ce quâil possĂšde en lui, câest un don peu commun. Dire de lui que câest un rĂ©alisateur ne suffit pas. Le titre exceptionnel de gĂ©nie » lui sied mieux, car il nâexcelle pas seulement dans le cinĂ©ma mais aussi dans le dessin, dans la photographie, dans le domaine des idĂ©es, de la pensĂ©e, de la perspicacitĂ©. » En effet, Tim Burton est un Personnage, un Auteur, un toon en lui-mĂȘme. Cette maniĂšre dâĂȘtre Ă la fois fou et hypersensible, furieux et mĂ©lancolique, macabre et vivant, sombre et enfantin, dâ ĂȘtre prĂ©sent par absence ou absent par prĂ©sence », Tim Burton la porte sur son visage pĂąle, dans sa chevelure en bataille, son Ă©locution hasardeuse, ses gestes mal assurĂ©s, son goĂ»t pour les tenues noires ou blanches, et ses yeux Ă©carquillĂ©s, toujours curieux, cachĂ©s derriĂšre dâĂ©normes lunettes bleues ou jaunes. Son cinĂ©ma transpire sa personnalitĂ© et parle bien mieux de lui que lâhomme lui-mĂȘme. Donnant le sentiment pĂ©renne de sortir dâune soirĂ©e de dĂ©bauche, Tim Burton est lâun des rares rĂ©alisateurs de la planĂšte Ă avoir le statut de rock star, Ă pouvoir concilier tous les publics, des adolescents Ă la critique, des movies fans aux artistes les plus conceptuels. Mais qui aurait pu prĂ©dire que le jeune dessinateur de chez Disney allait devenir un rĂ©alisateur majeur, ancrĂ© dans la culture pop amĂ©ricaine pour son univers baroque et gothique ? Premiers pas au cinĂ©ma la pĂ©riode Disney AĂźnĂ© des deux fils de Jean et Bill Burton, Timothy Walter Burton, dit Tim, naĂźt en 1958 Ă Burbank, dans la banlieue de Los Angeles. Câest dans ce cadre Ă priori idyllique, parfaite reprĂ©sentation de lâAmerican Way of Life dĂ©crit dans les films de Spielberg, que le jeune homme dĂ©veloppe sa future vision morose de la banlieue amĂ©ricaine. Le jeune Tim se sent mal dans sa peau et passe lâessentiel de son enfance en solitaire, Ă©prouvant des difficultĂ©s autant Ă la maison quâĂ lâĂ©cole. Quand je tombe sur une photo de moi enfant, je ne vois que mes dents⊠Elles Ă©taient Ă©normes, dĂ©mesurĂ©es, elles avaient grandi trop vite et le reste du corps nâa rĂ©cupĂ©rĂ© son retard que des annĂ©es plus tard. Je ressemblais Ă un cheval, ça a durĂ© pendant quinze ans, et Ă lâĂ©poque ça me rendait effroyablement triste. Mais ces dents honteuses et ma timiditĂ© maladive, mâisolant comme un forcenĂ©, mâont transformĂ© en ce que je suis.» A lâĂ©cole, jâĂ©tais un cancre. DĂšs quâon voulait mâinculquer quelque chose, je faisais la sourde oreille. Par pure rĂ©action. Je ne sais pas dâoĂč ça vient. Je me protĂšge certainement. A lâĂ©cole, je ne retenais rien. Tout ce qui mâen reste, ce sont les noms de certains nuages.» Au soleil de la Californie, le jeune Tim prĂ©fĂšre les salles obscures et la tĂ©lĂ©, oĂč il voit et revoit les films de monstres comme Godzilla dâInoshiro Honda, Frankenstein de James Whales, King Kong de Merian Caldwell Cooper, The Creature from the Black Lagoon de Jack Arnold, Dracula de Tod Browning, et les films de la Hammer⊠Il dĂ©couvre Vincent Price et lâexcentricitĂ© du rĂ©alisateur Ed Wood. Il apprĂ©cie les livres pour enfants du Dr Seuss, dont le cĂ©lĂšbre The Cat In The Hat et The Grinch That Stole Christmas, dont il sâest inspirĂ© pour crĂ©er The Nightmare Before Christmas LâĂtrange NoĂ«l de monsieur Jack. Des histoires simples en apparence, mais dâune grande complexitĂ© symbolique. Il dĂ©vore Ă©galement les contes pour enfants, son favori restant La Belle et la BĂȘte le conte, surtout pas la version Disney!. Le jeune Tim se distingue trĂšs tĂŽt par son originalitĂ© et son goĂ»t pour les plaisanteries Ă tendance macabres, ce qui lui vaut parfois des ennuis. Il se rĂ©vĂšle Ă©galement trĂšs douĂ© pour le dessin, qui reprĂ©sente pour lui autant un Ă©chappatoire du monde rĂ©el quâun langage Ă part entiĂšre. Une passion qui ne quittera plus. Je ne parle pas beaucoup, ni trĂšs bien. Dessiner a Ă©tĂ© un moyen de mâexprimer sans parler. Transformer ses Ă©motions en crĂ©ation est important pour tout le monde.» Une passion qui se double dâun goĂ»t prononcĂ© pour la rĂ©alisation cinĂ©matographique. DotĂ© dâune camĂ©ra Super 8, il rĂ©alise avec quelques amis de petits court mĂ©trages, mĂȘlant souvent animation en stop-motion et prises de vues rĂ©elles. En 1976, alors ĂągĂ© de 18 ans, Tim est repĂ©rĂ© par des cadres de Disney et obtient une bourse pour intĂ©grer CalArts California Institute of Arts, une Ă©cole fondĂ©e par le studio pour constituer un ârĂ©servoirâ de talents. Il passe Ă Calarts trois annĂ©es difficiles, incapable dâintĂ©grer les âcodesâ formatĂ©s, de supporter lâenseignement âmilitaireâ, refusant de faire des concessions sur ses opinions artistiques et comprenant mal quâon exige de lui dâĂȘtre Ă la fois un artiste et un zombie Ćuvrant sans personnalitĂ©. Il faut ĂȘtre quelquâun dâunique pour pouvoir faire coexister ces deux Ă©tats dans un mĂȘme cerveau.» EmbauchĂ© par Disney, Burton ne parvient pas Ă dessiner ce que le studio dĂ©sire. Son travail en tant quâanimateur sur Rox et Rouky se rĂ©vĂ©lera laborieux. Je nâarrivais mĂȘme pas Ă imiter le style Disney. Les miens [renards] ressemblaient Ă une route dĂ©foncĂ©e.⊠Jâavais lâimpression de subir le supplice de la goutte dâeau. ⊠Je nâavais pas la force dâendurer cela, câĂ©tait au-dessus de mes forces.» Le manichĂ©isme de Disney nâexiste pas chez Tim Burton, qui prĂ©fĂšre mettre en scĂšne des personnages Ă la psychologie plus complexe, qui ne sont ni tout Ă fait bons, ni tout Ă fait mĂ©chants. AprĂšs cette pĂ©riode difficile et un essai toujours infructueux en tant quâartiste-concepteur sur Taram et le Chaudron Magique, il reçoit 60 000 $ pour rĂ©aliser en 1982, Ă partir du scĂ©nario quâil a rĂ©digĂ©, son premier court-mĂ©trage 5 min 52 secondes, un petit bijou dâanimation largement autobiographique et Ă la tonalitĂ© expressionniste, Vincent. Le film en stop-motion met en scĂšne un enfant, Vincent Malloy, dont le rĂȘve est dâĂȘtre Vincent Price, acteur Ă la voix tĂ©nĂ©breuse coutumier des films dâĂ©pouvante, et surtout idole de Tim Burton. Une voix off, celle de lâacteur lui-mĂȘme, rĂ©cite sur les images le poĂšme Ă©crit par Tim sur un ton proche des textes dâEdgar Allan Poe, et clĂŽture le court-mĂ©trage sur une citation du poĂšme Le corbeau. Disney est effrayĂ© par la noirceur de ce court-mĂ©trage et le met au placard. Il ne sortira quâen supplĂ©ment dans le DVD Ă©dition spĂ©ciale de LâĂtrange NoĂ«l de monsieur Jack en 1993. MalgrĂ© tout, Burton est choisi pour mettre en scĂšne un court mĂ©trage un peu plus long, 29 minutes, son premier film avec des acteurs et des dĂ©cors rĂ©els, Frankenweenie, un hommage aux films dâhorreur des annĂ©es 1930. Ce moyen-mĂ©trage est une variation du film Frankenstein oĂč un enfant joue les apprentis sorciers en faisant ressusciter son chien Sparky, aprĂšs que celui-ci se soit fait renverser par une voiture. Il dirige Shelley Duvall Shining et la toute jeune Sofia Coppola dans un rĂŽle secondaire. On y retrouve une bonne part de fantastique, un soupçon dâhorreur et une grosse dose de comique. Tim Burton claque finalement la porte des studios Disney en 1984. Sâil garde un souvenir amer de la maison aux grandes oreilles, cette pĂ©riode reste pour lui une Ă©poque dâĂ©bullition crĂ©ative. Son style se dĂ©finit, et de nombreux projets naissent dans son esprit. La naissance de lâauteur Il ne lui faudra pas longtemps pour se voir offrir sa chance. GrĂące Ă Paul Reubens, tout dâabord. Lâidole des enfants amĂ©ricains vient trouver Burton pour rĂ©aliser une adaptation de son Pee Wee Herman Show » sur HBO. Câest la premiĂšre fois que le jeune rĂ©alisateur a affaire Ă un gros studio hollywoodien, la Warner Bros. Bien que le film soit tournĂ© en moins dâun mois avec un faible budget,le jeune rĂ©alisateur parvient Ă insuffler sa touche personnelle Ă ce road trip burlesque et colorĂ© Ă travers les Etat-Unis. Pour la musique du film, il fait appel au chanteur du groupe Oingo Boingo, Danny Elfman, une rencontre qui sâavĂ©rera dĂ©cisive. Le succĂšs du film lui permettra de mettre en scĂšne Beetlejuice en 1988, lâoccasion pour Burton de sâaffranchir un peu de la surveillance permanente des studios et de se distinguer par la force graphique qui se dĂ©gage, dĂ©finissant une vĂ©ritable identitĂ© visuelle. On me demande souvent mais quand vas-tu enfin tourner un film avec des personnes rĂ©elles? Comme je ne sais pas trĂšs bien ce que signifient des mots comme normal » ou rĂ©el », je rĂ©ponds quâest-ce que la rĂ©alitĂ©? » ou quâest-ce que la normalitĂ©?» La Warner qui a acquis, en 1979, les droits dâadaptation du comics de Bob Kane, Batman 1939, propose alors Ă Tim Burton de porter le projet sur grand Ă©cran. Depuis toujours, le jeune homme est sĂ©duit par la face cachĂ©e, la double personnalitĂ© de lâhomme chauve-souris. Pour lui, Batman nâest pourtant pas un super-hĂ©ros au sens propre du terme possĂ©dant des super-pouvoirs, mais un homme ordinaire qui endosse un costume de justicier. Il nâhĂ©site donc pas Ă rĂ©inventer le genre, en proposant un personnage sombre et tourmentĂ©, beaucoup plus proche du comics original et surtout des travaux de Frank Miller et Alan Moore des annĂ©es 80. La Warner est inondĂ©e de plus de cinquante mille lettres de protestations de fans mĂ©contents. Ce qui nâempĂȘchera pas Burton de rĂ©aliser la suite, Batman Le DĂ©fi, en 1992. Encore plus noir, macabre et torturĂ© que le premier, ce nouvel opus prend des allures de conte gothique et de carnaval inquiĂ©tant. La place prĂ©pondĂ©rante accordĂ©e aux mĂ©chants dans ces deux films lui vaut la colĂšre des fans, ce qui nâempĂȘchent pas les films de cartonner au box-office. On mâa souvent dit que je mâĂ©tais dĂ©sintĂ©ressĂ© de Batman pour mettre en avant le Joker; pareil dans Batman, le dĂ©fi, au sujet du Pingouin et de Catwoman. Câest faux. Tous les personnages mâintĂ©ressent, leur dualitĂ© mâintĂ©resse. Batman est un homme de lâombre, et il dĂ©sire y rester. Je me dois de respecter cette convention. »Voir aussi Entre ces deux super-productions, Burton rĂ©alise un manifeste dâamour Ă un cinĂ©ma dĂ©calĂ©, proche de Fellini ou de Tati Edward aux mains dâargent. Lâoccasion pour lui de souffler un peu, mais aussi de montrer sa vision trĂšs personnelle de sa jeunesse et des traumatismes quâelle a pu engendrer.. Le parcours dâEdward ressemble en effet Ă celui du jeune Burton dans la banlieue de Burbank oĂč il a grandi Edward a beaucoup Ă voir avec mes souvenirs dâenfance Ă Burbank, lâune des banlieues de Los Angeles oĂč la population est blanche et trĂšs classe moyenne. Pendant toute mon enfance, je me suis senti bizarre. Il y avait quelque chose dâĂ©trange qui planait dans cette ville. Les gens y Ă©taient artificiellement amicaux.» De lâartiste branchĂ© au roi du box-office VidĂ© par le tournage de Batman, Le DĂ©fi, Burton traverse au dĂ©but des annĂ©es 90 une phase de dĂ©pression, et songe mĂȘme Ă arrĂȘter le cinĂ©ma. Il y a [dans lâindustrie du cinĂ©ma] tellement de forces qui peuvent te dĂ©molir â les critiques, le box-office et le film lui-mĂȘme â que ça tâoblige Ă garder une certaine humilitĂ©, Ă garder les pieds sur terre.» La cruautĂ© fait partie du cinĂ©ma, elle en est mĂȘme fondatrice.» MalgrĂ© tout, il enchaĂźne coup sur coup trois nouveaux films, au rythme de un tous les deux ans. Câest dâabord LâEtrange NoĂ«l de Mr Jack, inspirĂ© dâun poĂšme quâil a lui-mĂȘme Ă©crit, et dont Disney dĂ©tient les droits. Les producteurs en confieront la rĂ©alisation Ă Henry Selick, mais ce petit bijour dâanimation en stop motion reste son projet, avec son histoire, ses personnages et son univers visuel. En 1994, Burton met en scĂšne Ed Wood, rĂ©cit de la vie farfelue dâEdward Davis Wood Junior, rĂ©alisateur affublĂ© de façon posthume du titre de plus mauvais rĂ©alisateur de lâhistoire ». Le film est un biopic autant quâun hommage. Burton devait dans un premier temps seulement le produire mais, sĂ©duit, il dĂ©cide rapidement dâen assumer la rĂ©alisation. Il est trĂšs probable que lâintĂ©rĂȘt du rĂ©alisateur pour ce film et sa mise en avant de la relation Wood/Lugosi ait un rapport avec son histoire personnelle avec Vincent Price, mort peu auparavant. Le film offre un aperçu de la polyvalence de Tim Burton que lâon croit souvent -Ă tort- incapable de faire autre chose que des films gothiques ». Câest un succĂšs critique mais un Ă©chec commercial, seul film de Tim Burton Ă avoir fait un chiffre dâaffaire infĂ©rieur Ă son budget de dĂ©part. En 1996, il signe Mars Attacks !, inspirĂ© dâun jeu de cartes Ă collectionner lancĂ© par une marque de chewimg-gum. Le rĂ©alisateur se pose Ă lâĂ©poque beaucoup de questions sur lâĂ©volution politique du monde et en particulier de lâAmĂ©rique, et aime la dimension critique que le film peut apporter Ă cet Ă©gard. MalgrĂ© une plĂ©iade de stars le film, qui sort en 1996, est trĂšs mal accueilli par une AmĂ©rique souvent trop patriotique et pudique. Il nâemballe ni la critique, ni le public qui lui prĂ©fĂšre Independence Day, film traitant du mĂȘme sujet mais sur un ton plus dramatique, et Ă grands coups dâeffets spĂ©ciaux. MalgrĂ© tout, le film est un succĂšs en Europe, oĂč la critique dĂ©calĂ©e du rĂ©alisateur Ă lâĂ©gard de son propre pays amuse beaucoup. Câest donc avec un statut paradoxal que Tim Burton revient Ă ses premiers amours avec le conte gothique en mettant en scĂšne une nouvelle de Washington Irving, Sleepy Hollow. FraĂźchement dĂ©boutĂ© de Superman Lives, celui-ci accueille le projet comme une bouffĂ©e dâair frais, motivĂ© par le fait quâil nâavait encore jamais rĂ©alisĂ© de films dâĂ©pouvante, le genre quâil affectionne pourtant le plus. Burton renoue dĂšs lors avec le succĂšs critique et commercial, malgrĂ© la classification R interdit aux moins de 17 ans non accompagnĂ©s dâun adulte aux Ătats-Unis. Il dĂ©clare Ă ce propos en tournant Sleepy Hollow, jâai pensĂ© Ă mes rĂ©actions de spectateur enfant je dĂ©testais que lâon me mĂ©nage, je voulais ĂȘtre confrontĂ© aux images, si dures soient-elles. Je me souviens de mes cris lorsque jâai vu Le Masque du dĂ©mon de Mario Bava. Crier Ă©tait pourtant une des maniĂšres les plus rassurantes dâavoir peur puisque le film Ă©tait une fantaisie». Ce succĂšs lui permet de sâattaquer Ă un autre gros projet de la Fox un remake de La PlanĂštes des Singes, le film culte de 1968. En projet depuis plus de dix ans, cette nouvelle adaptation du roman de Pierre Boulle obtient de bons rĂ©sultats, atteignant les cent soixante-treize millions de dollars de bĂ©nĂ©fices sur le sol amĂ©ricain. Câest au tour de la Columbia de faire les yeux doux Ă Burton, en lui proposant lâhistoire de Big Fish, celle dâun homme qui va devenir pĂšre mais qui va Ă©galement perdre le sien dans un scĂ©nario faisant lâĂ©loge de lâimaginaire face Ă la platitude du monde rĂ©e. Tim Burton ne peut que se retrouver dans cette histoire dont les Ă©vĂ©nements sont trĂšs synchrones avec sa vie. Le style du cinĂ©aste change dâorientation, mais sa griffe demeure visible dans lâunivers fantastique quâil dĂ©roule. La thĂ©matique de la paternitĂ© se retrouve aussi dans son film suivant, Charlie et la Chocolaterie. Adaptation dâun livre pour enfants de Roald Dahl, le sujet central de lâĆuvre est avant tout lâĂ©ducation. Burton nouveau pĂšre ne peut donc y ĂȘtre que sensible. En mettant en scĂšne les enfants terribles gĂątĂ©s par une Ă©ducation moderne, Burton traduit ses inquiĂ©tudes⊠Et confirme une vision assez traditionnelle de la cellule familiale comme base solide de lâĂ©panouissement. Quatre mois plus tard, retour Ă lâanimation. En 2005, Tim Burton revient Ă ses premiers amours avec Les Noces FunĂšbres, intĂ©gralement tournĂ© en stop-motion. Les scĂšnes ainsi que les personnages ont Ă©tĂ© dessinĂ©s par le cinĂ©aste lui-mĂȘme. Tourbillon perpĂ©tuel dâĂ©motions, ce dessin animĂ© Ă lâesthĂ©tique gothique la plus pure est animĂ© par une magie rare pour un film dâanimation. Ce thĂšme du monde des vivants paraissant plus mort que celui des morts, je lâai en moi depuis longtemps.» Un thĂšme quâil explore de nouveau dans une moindre mesure avec Sweeney Todd, sa premiĂšre comĂ©die musicale en prise de vue rĂ©elle. On est pourtant loin de la magie et de lâunivers enchantĂ© de LâĂtrange NoĂ«l de Monsieur Jack, dans ce conte morbide et sanglant aux tons presque noirs et blancs. Les rĂ©sultats au box-office confirment le plus grand aura de Burton outre-Atlantique, oĂč le film rapporte le double de la somme engrangĂ©e aux Ătats-Unis. La sensation arrive en 2010, lorsquâil se voit confier lâadaptation en prises de vues rĂ©elles dâAlice au Pays des Merveilles par Disney. Sâil ne sâest jamais senti particuliĂšrement touchĂ© par le rĂ©cit imaginĂ© par Lewis Caroll, Burton accepte le challenge, contre la possibilitĂ© de refaire son premier court-mĂ©trage sous forme de long. Bien lui en a pris, au final, puisque le film sera son plus gros succĂšs, et lâun des records de lâannĂ©e, franchissant allĂšgrement la barre du milliard de dollars de recettes. Burton reviendra ensuite Ă des scores plus modestes avec Dark Shadows en 2012, lâadaptation une nouvelle fois du soap opĂ©ra Ă©ponyme diffusĂ© dans les annĂ©es 1960. Ce poĂšte aux multiples facettes, cet amoureux des images, valait bien que lâon se penche plus en dĂ©tails sur sa filmographie. CinĂ©sĂ©ries-Mag vous propose donc un retour sur ses films, Ă lâoccasion de la sortie de Big Eyes, son nouveau projet. Sans oublier de saluer au passage lâartiste visionnaire et le dessinateur de gĂ©nie, dont voici quelques croquis Filmographie sĂ©lective Tim Burton 1985 Pee-Wee Big Adventure 1988 Beetlejuice 1989 Batman 1990 Edward aux mains dâargent 1992 Batman Le DĂ©fi Batman Returns 1994 Ed Wood 1996 Mars Attacks! 1999 Sleepy Hollow 2001 La PlanĂšte des singes 2003 Big Fish 2005 Charlie et la Chocolaterie 2005 Les Noces funĂšbres 2008 Sweeney Todd 2010 Alice au pays des merveilles 2012 Dark Shadows 2012 Frankenweenie 2014 Big Eyes Dans les films de Tim Burton, la musique est un personnage Ă part entiĂšre. Nous achĂšverons cette rĂ©trospective par une mise en lumiĂšre de sa formidable collaboration avec son compositeur fĂ©tiche Danny Elfman.
2Veoe. z68n9iu59l.pages.dev/119z68n9iu59l.pages.dev/100z68n9iu59l.pages.dev/319z68n9iu59l.pages.dev/203z68n9iu59l.pages.dev/393z68n9iu59l.pages.dev/159z68n9iu59l.pages.dev/564z68n9iu59l.pages.dev/548
tim burton a réalisé sleepy en 1999