Lecode de la sécurité sociale et code des impôt est très claire sur le statut de non-résidents fiscal en France concernant l'exonération de la CSG et autres contributions. Mais seul Humanis retraite continu en toute connaissance de cause ces prélèvements. Ce qui constitue une violation de la législation avec circonstance aggravante puisque intentionnelle.

Article L380-2 Entrée en vigueur 2019-01-01 Les personnes mentionnées à l'article L. 160-1 sont redevables d'une cotisation annuelle lorsqu'elles remplissent les conditions suivantes 1° Leurs revenus tirés, au cours de l'année considérée, d'activités professionnelles exercées en France sont inférieurs à un seuil fixé par décret. En outre, lorsqu'elles sont mariées ou liées à un partenaire par un pacte civil de solidarité, les revenus tirés d'activités professionnelles exercées en France de l'autre membre du couple sont également inférieurs à ce seuil ; 2° Elles n'ont perçu ni pension de retraite ou d'invalidité, ni rente, ni aucun montant d'allocation de chômage au cours de l'année considérée. Il en est de même, lorsqu'elles sont mariées ou liées à un partenaire par un pacte civil de solidarité, pour l'autre membre du couple. Cette cotisation est assise sur le montant des revenus fonciers, de capitaux mobiliers, des plus-values de cession à titre onéreux de biens ou de droits de toute nature, des bénéfices industriels et commerciaux non professionnels et des bénéfices des professions non commerciales non professionnels, définis selon les modalités fixées au IV de l'article 1417 du code général des impôts. Servent également au calcul de l'assiette de la cotisation, lorsqu'ils ne sont pas pris en compte en application du IV de l'article 1417 du code général des impôts, l'ensemble des moyens d'existence et des éléments de train de vie, notamment les avantages en nature et les revenus procurés par des biens mobiliers et immobiliers, dont le bénéficiaire de la couverture maladie universelle a disposé, en quelque lieu que ce soit, en France ou à l'étranger, et à quelque titre que ce soit. Ces éléments de train de vie font l'objet d'une évaluation dont les modalités sont fixées par décret en Conseil d'Etat. Un décret détermine le taux et les modalités de calcul de cette cotisation ainsi que les obligations déclaratives incombant aux assujettis. L'assiette de la cotisation fait l'objet d'un abattement fixé par décret. Cette assiette, avant application de l'abattement, ne peut excéder un montant fixé par décret. Pour les personnes mentionnées à l'article L. 611-1 du présent code ainsi que pour les personnes mentionnées à l'article L. 722-1 du code rural et de la pêche maritime, les revenus d'activité pris en compte pour l'application du cinquième alinéa du présent article ne peuvent être inférieurs à la plus faible des assiettes minimales retenues pour le calcul des cotisations sociales de ces personnes dans les conditions prévues aux articles L. 621-1 et L. 633-1, à l'avant-dernier alinéa de l'article L. 635-1, au dernier alinéa de l'article L. 632-1, à l'avant-dernier alinéa de l'article L. 642-1 et, le cas échéant, aux articles L. 644-1 et L. 644-2 du présent code ou à l'article L. 731-11 du code rural et de la pêche maritime. Le montant de la cotisation est égal au produit de l'assiette et d'un taux dont la valeur, fixée par décret, décroît linéairement à proportion des revenus d'activité et devient nul lorsque ces revenus atteignent le seuil mentionné au 1°. La cotisation est recouvrée l'année qui suit l'année considérée, mentionnée aux 1° et 2° du présent article, selon les dispositions des sections 2 à 4 du chapitre III et du chapitre IV du titre IV du livre II du présent code, sous réserve des adaptations prévues par décret en Conseil d'Etat. Les agents des administrations fiscales communiquent aux organismes mentionnés aux articles L. 213-1 et L. 752-2 les informations nominatives déclarées pour l'établissement de l'impôt sur le revenu par les personnes remplissant les conditions mentionnées au premier alinéa de l'article L. 380-2, conformément à l'article L. 152 du livre des procédures fiscales.

ReplierTROISIÈME PARTIE : DISPOSITIONS RELATIVES AUX RECETTES ET À L'ÉQUILIBRE FINANCIER DE LA SÉCURITÉ SOCIALE POUR L'EXERCICE 2015 (Articles 7
Sont admis en qualité de pupille de l'Etat 1° Les enfants dont la filiation n'est pas établie ou est inconnue, qui ont été recueillis par le service de l'aide sociale à l'enfance depuis plus de deux mois ; 2° Les enfants dont la filiation est établie et connue, qui ont expressément été remis au service de l'aide sociale à l'enfance en vue de leur admission comme pupilles de l'Etat par les personnes qui ont qualité pour consentir à leur adoption, depuis plus de deux mois ; 3° Les enfants dont la filiation est établie et connue, qui ont expressément été remis au service de l'aide sociale à l'enfance depuis plus de six mois par leur père ou leur mère en vue de leur admission comme pupilles de l'Etat et dont l'autre parent n'a pas fait connaître au service, pendant ce délai, son intention d'en assumer la charge ; avant l'expiration de ce délai de six mois, le service s'emploie à connaître les intentions de l'autre parent ; 4° Les enfants orphelins de père et de mère pour lesquels la tutelle n'est pas organisée selon le chapitre II du titre X du livre Ier du code civil et qui ont été recueillis par le service de l'aide sociale à l'enfance depuis plus de deux mois ; 5° Les enfants dont les parents ont fait l'objet d'un retrait total de l'autorité parentale en vertu des articles 378 et 378-1 du code civil et qui ont été recueillis par le service de l'aide sociale à l'enfance en application de l'article 380 dudit code ; 6° Les enfants recueillis par le service de l'aide sociale à l'enfance en application des articles 381-1 et 381-2 du code civil. Assujettissement Vous êtes bénéficiaire de la protection universelle maladie (PUMa). La protection universelle maladie (PUMa) permet à toute personne qui travaille ou réside en France de manière stable et régulière de bénéficier de la prise en charge de ses frais de santé. Certains assurés, répondant à des critères de revenus Une page de Wikiversité, la communauté pédagogique libre. Les problématiques de santé et de sécurité au travail doivent être prises au sérieux par les organismes employeurs, elles sont au cœur d'impératifs humains et sociaux ; d'enjeu économique et juridique. Si par le passé les accidents du travail ont pu être perçus comme une fatalité, ils sont aujourd’hui considéré comme un dysfonctionnement de l’organisme employeur. La sécurité doit être partie intégrante de la gestion de l'organisme au même titre que la comptabilité ou la stratégie commerciale. Les lois en la matière encadrent plus fortement ces sujets, et les tribunaux n'hésite pas à les appliquer pleinement par des sanctions lourdes pouvant impliquer la responsabilité civile et pénale des chefs d’organisme. L'objectif de ce chapitre est de découvrir ce domaine en faisant resortir la responsabilité des actes en entreprise et dans la vie privée ; l'obligation de participer à la démarche d’amélioration constante de ses conditions de travail. Tour d'horizon[modifier modifier le wikicode] Les principes généraux de la prévention[modifier modifier le wikicode] Le cadre réglementaire de référence s’appuie sur la directive européenne du 12 juin 1989 transposée en France par la loi du 31 décembre 1991 et déclinée dans le code du travail art. L'employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Ces mesures comprennent Des actions de prévention des risques professionnels ; Des actions d'information et de formation ; La mise en place d'une organisation et de moyens adaptés. L'employeur veille à l'adaptation de ces mesures pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à l'amélioration des situations existantes.» La mise en œuvre des principes généraux de prévention peut s’appuyer sur les axes de travail suivants éviter les risques ; évaluer les risques qui ne peuvent être évités ; réduire les risques à la source ; remplacer ce qui est dangereux par ce qui n’est pas dangereux ou moins dangereux ; mettre en place un organisation pour planifier la prévention ; mise en place de moyens adaptés ; adaptation de ces mesures selon les changements ; amélioration continue des situations existantes. Évaluation des risques[modifier modifier le wikicode] Le chef d’entreprise doit formaliser par écrit dans un document unique les résultats de l’évaluation des risques, les mettre à jour et les tenir à disposition des instances légales. L'employeur doit veiller à la santé et à la sécurité au travail des salariés. Tiré de la directive européenne du 12 juin 1989 transposé par la loi du 31 décembre 1991 qui est obligatoire depuis le décret du 5 novembre 2001. Ce décret est expliqué dans la circulaire du ministre chargé du travail du 18 avril 2002. L'évaluation doit se dérouler en quatre grande phases identifier les risques ; classer les risques ; proposer des actions de prévention ; mise à jour et révision chaque année Exemples de risques[modifier modifier le wikicode] chute de plain pied ; chute de hauteur ; manutention manuelle ; engins et appareils de levage ; machines et équipements de travail ; circulation ; chute d’objet ; bruit ; produits chimiques ; produits cancérigènes ; rayonnements ionisants ; incendie, explosion ; électricité ; stress ; troubles musculo-squelettique ; organisation du travail ; manque de luminosité ; basses ou hautes températures ; rayonnement non ionisants ; interventions entreprises extérieures ; produits biologiques ; travail en espace confiné ; … Conséquences[modifier modifier le wikicode] En termes de nombre d’accidents, risquer un accident mortel, c’est accepter 1 mort par an parmi le personnel. Statistiquement, tolérer le risque d'accident pouvant entraîner des soins, c’est accepter un risque mortel une fois sur 600. L'accident du travail[modifier modifier le wikicode] Glossaire des abréviations[modifier modifier le wikicode] Comme de nombreux domaines l'accident possède de nombreux sigles, voici la liste des plus courants. AT Accident du travail MP Maladie professionnel DAT déclaration d'accident de travail DMP déclaration de maladie professionnelle Caisse Primaire d'Assurance Maladie Caisse Régionale d'Assurance Maladie CNAM Caisse Nationale d'Assurance Maladie IPP Invalidité Partielle Permanente Circuit administratif et obligations[modifier modifier le wikicode] Les obligations de l'employeur[modifier modifier le wikicode] Dans tous les cas, il doit déclarer l’accident sous 48 heures 24 heures pour un intérimaire, ; délivrer ou faire parvenir le volet de soins au salariés, ; adresser si besoin à la l’attestation de salaire ; remplir le registre des accidents bénins. Insistons sur le fait que tout accident du travail doit être obligatoirement déclaré sous 48 heures auprès de la cpam de l’accidenté 24 h pour les Intérimaires à partir du jour où l’employeur a été informé de l’accident hors samedi & dimanche Les rôles des Caisses Primaires d'Assurance Maladie[modifier modifier le wikicode] Les reconnaissent ou rejettent la qualification d'accident du travail statuent sur le caractère professionnel de l’accident au reçu de la déclaration établie par l’employeur ; avancent les indemnisations soins, indemnités journalières, rentes, … de la ou les victimes le cas échéant et les factures à l'employeur. À noter que si la qualification d'accident du travail est rejeté par la l'employé peut tout de même bénéficier des indemnisations de sa mutuelle mais de manière dégressive. Les rôles des Caisses Régionales d’Assurance Maladie[modifier modifier le wikicode] Les s'occupent de prévention établir un diagnostic sécurité ; définir et réaliser un plan d’actions, en assurer le suivi ; tarification élaborer chaque année les statistiques des accidents du travail ; déterminer annuellement le taux de cotisation AT/MP de chaque établissement ; communiquer ce taux à l’employeur et à l’URSSAF. Le rôle de la Caisse Nationale d'Assurance Maladie[modifier modifier le wikicode] La CNAM s'occupe de compiler les statistiques régionales. Définitions[modifier modifier le wikicode] Accident du travail Selon l’article L. 411-1 du Code de la Sécurité Sociale est considéré comme accident du travail, quelle qu’en soit la cause, l’accident survenu par le fait ou à l’occasion du travail à toute personne salariée ou travaillant, à quelque titre ou en quelque lieu que ce soit pour un ou plusieurs employeurs ou chefs d’entreprise ». C’est la présomption simple pas besoin d’apporter de preuve qu’il est dû à son activité professionnelle de la part du salarié. Présomption d’imputabilité Toute lésion qui se produit dans un accident survenu par le fait du travail ou à l’occasion du travail, doit être considérée, sauf preuve contraire, comme résultant de cet accident » Cass. – 1-81, note SACHET. Toute lésion dont le travail, même normal, a été la cause ou l’occasion, doit être considérée comme résultant d’un accident du travail » Cass. Soc. 30-7-49- Bul. Jur. 2-50 at. Rose ; antérieurement Cass. 1930,1-26, etc. Il faut même voir là une double présomption. La lésion est présumée la conséquence de l’accident et la lésion fait présumer l’accident. Toutefois sont seules couvertes par la présomption d’imputation les lésions qui se sont manifestées immédiatement après l’accident ou dans un temps voisin » Cass. Soc. 9-12-54 – Bul. Jur. 17-55 La présomption d’imputabilité ne peut jouer lorsqu’un assuré,victime d’une entorse du genou le vendredi en l’absence de témoin, ne consulte son médecin et n’avise son employeur que le lundi Il appartenait à l’intéressé, quelle que soit sa bonne foi, d’établir autrement que par ses propres affirmations, la matérialité de l’accident, sa date et son caractère professionnel », Cass. Soc. 15 juin 1977, de Rouen c/Keglart, Sommaires de Sécurité Sociale no 88, Charge de la preuve quand l’employeur conteste la qualification d’ au motif que l’accident n’est pas lié à l’activité professionnelle qui incombe au salarié, c’est à lui d’en apporter la preuve. Cette réserve doit figurer sur la déclaration d’accident ou par lettre séparée, elles déclenchent alors une enquête de la part de la sécurité sociale. accident de trajet C’est l’accident survenu pendant les trajets aller et retour entre le lieu d’habitation et le lieu de travail ; le lieu de restauration habituel et le lieu du travail. Accident provoqué par un tiers Est tiers toute personne n’appartenant pas au personnel de l’entreprise et contre laquelle il importe d’exercer un recours. accident benin C’est un accident survenu par le fait du travail qui n’entraînera pas d’arrêt immédiat. accident de circulation C’est l’accident survenu au cours d’un déplacement professionnel. différent de l’accident de trajet Coût d'un accident[modifier modifier le wikicode] Décès[modifier modifier le wikicode] En cas de décès consécutif à un accident du travail, le forfait mis à la charge de l’entreprise ou de la profession représente 26 fois le salaire minimum soit environ 605 294 € Main[modifier modifier le wikicode] Taux d’incapacité permanente 70% = amputation de la main dominante Coût répercuté dans les cotisation AT de l’entreprise ou de la profession sur 3 ans 421 791 € Œil[modifier modifier le wikicode] Taux d’incapacité permanente 30% = perte complète de la vision d’un œil Coût répercuté dans les cotisation AT de l’entreprise ou de la profession sur 3 ans 114 488 € Surdité[modifier modifier le wikicode] Taux d’incapacité permanente 24% = perte auditive de 35 à 45 décibels Coût répercuté dans les cotisation AT de l’entreprise ou de la profession sur 3 ans 89 397 € Pouce[modifier modifier le wikicode] Taux d’incapacité permanente 14% = perte de la phalange unguéale Coût répercuté dans les cotisation AT de l’entreprise ou de la profession sur 3 ans 53 337 € Syndrome du canal carpien[modifier modifier le wikicode] Taux d’incapacité permanente 8% Coût répercuté dans les cotisation AT de l’entreprise ou de la profession sur 3 ans 11 632 € Coûts indirects[modifier modifier le wikicode] En plus des peines, l'organisme subira des des coûts liés à son fonctionnement production, qualité, délais, formation du remplaçant, climat social ou image de parque, matériel détérioré… Conséquences de l'accident[modifier modifier le wikicode] L'accident peut aboutir sur trois situations la guérison ; la consolidation, indemnisé au taux d'IPP versement rente ou indemnisé en capital ; le décès versement d'un capital. Les indemnisations ont des coefficients multiplicateurs en fonction de la gravité de l'accident incapacité permanente partielle Inférieure à 10% capital fixe forfaitairement x 1,1 en fonction du taux d’IPP Supérieure ou égale à 10% capital représentatif des rentes 32 fois le montant annuel des rentes calculé à la date de la notification décès de la victime capital correspondant aux accidents mortels 26 fois le capital du salaire annuel minimal servant au capital des rentes Les réparations[modifier modifier le wikicode] En l’absence de réserves, le mécanisme de prise en charge de la réparation automatique dès la présomption est réalisée. Il assure prestation en espèce / rentes ; prestations en nature soins médicaux et pharmaceutiques. C’est une réparation forfaitaire c’est-à-dire partielle. Les maladies professionnelles[modifier modifier le wikicode] Une maladie est professionnelle » si elle est la conséquence directe de l’exposition d’un travailleur à un risque physique, chimique, biologique, ou résulte des conditions dans lesquelles il exerce son activité professionnelle. L’accident du travail fait matériel fortuit provoquant une lésion corporelle généralement simple à constater. C’est un évènement qui s’est passé à un endroit précis à un moment donné. La maladie professionnelle MP conséquence de l’exposition plus ou moins prolongée à un risque qui existe lors de l’exercice habituel de la profession. La MP est consécutive à l'absorption quotidienne de petite dose de poussières ou de vapeurs toxiques ou à une exposition répétée à des agents physiques bruit, vibrations, etc.. Impossible de fournir une date de démarrage d’absorption et les relations de cause à effet sont souvent difficile à préciser. Il existe aussi des MP consécutives à des accidents du travail, par exemple un tétanos peut survenir à la suite d’une blessure accidentelle souillée, telle qu’une piqûre par un clou sur un chantier de travaux public ; une ostéo-arthrite chez un tubiste qui survient souvent chez un sujet ayant présenté des accident de décompression. Une maladie peut être reconnue comme maladie professionnelle si elle figure sur l’un des tableaux annexé au Code de la Sécurité sociale loi du 25 octobre 1919. Il existe actuellement 112 tableaux. Sont pris en compte dans chaque tableau les symptômes ou lésions pathologiques que doit présenter le malade ; les délais de prise en charge c'est-à-dire le délai maximal entre la constatation de l’affection et la date à laquelle le travailleur a cessé d’être exposé au risque ; les travaux susceptibles de provoquer l’affectation en cause. Ex insuffisance rénale causé par manipulation de plomb. La loi nº93-121 du 27 janvier 1993 complète le système de reconnaissance des MP même celles qui ne sont pas dans le tableau ou qui ne respectent pas les conditions relatives au délai de prise en charge. Procédure de reconnaissance déclaration à faire par la victime à la dans un délais de 15 jours après la cessation du travail ou la constatation de la maladie. ; cette déclaration doit être accompagnée d’un certificat médical initial établi par le médecin ; la caisse ouvre une enquête administrative et médicale et informe l’employeur et l’inspecteur du travail. La caisse constitue un dossier qui est transmit à un Comité régional de reconnaissance des MP. Le dossier comprend une demande motivée de la victime, ou de ses ayants droit ; un certificat médical ; un avis motivé du médecin du travail ; un rapport de l’employeur décrivant le poste de travail ; le rapport du service médical de la caisse comportant le taux d’incapacité permanente partielle IPP fixé par le médecin conseil. Obligations de l’employeur[modifier modifier le wikicode] Au titre de l'Art. L. 461-4 du Code de la sécurité sociale tout employeur qui utilise des procédés de travail susceptibles de provoquer les MP visés par l’article L. 461-2 est tenu d’en faire la déclaration à la et à l’inspecteur du travail ». Il doit pouvoir prouver à tout moment que ses salariés ont bien été soumis aux visites médicales prévues par la réglementation. Il est aussi obligé de tenir compte de l’éventuel avis d’inaptitude temporaire ou définitif qui lui serait transmis par le médecin du travail à la suite de ces examens. Les employeurs sont également tenus d’informer les travailleurs des dangers présentés par les produits qu’il manipulent art. R. 4412-12 du Code du Travail. L’étiquetage informatif des substances et préparations est l’un des éléments de cette information. OBLIGATIONS DES TRAVAILLEURS Si l’employeur est responsable de l’application des mesures réglementaires de prévention, les travailleurs sont tenus de se soumettre aux visites médicales, complétées ou non d’examens complémentaires, prescrits par le médecin du travail. Les rôles des medecins[modifier modifier le wikicode] Les médecins du travail ont à charge la déclaration de la MP certificat médical en quadruple exemplaire dont un exemplaire dépourvu de mentions relatives à la maladie à remettre à l’employeur ; la déclaration des maladies à caractère professionnel, c'est-à-dire l'obligation de déclarer tout symptôme ou maladie figurant sur la liste mais présentant à son avis un caractère professionnel ; suivi médical post-professionnel comme par exemple pour les personnes exposées à certaines poussières minérales ou à des agents cancérogènes. Les réparations[modifier modifier le wikicode] De nombreux problèmes demeurent qui tiennent notamment à la complexité du système français de reconnaissance et d’indemnisation ; à la fréquente impossibilité de recenser les nuisances auxquelles ont été soumises certaines catégories de travailleurs intérimaire ou salarié ayant exercé dans plusieurs entreprises successives ; à la difficulté de démontrer et d’évaluer la part qui, dans une maladie, revient à telle ou telle nuisance professionnelle ou à tel ou tel facteur extra professionnel. Quelques chiffres sur l'hygiène et la sécurité[modifier modifier le wikicode] Évolution du nombre d’accidents du travail 2007 2008 Évolution Effectif salariés en France 18 263 645 18 508 530 + % AT avec arrêt 720150 703 976 - % AT avec incapacité d’arrêt IP 46 426 44 037 - % Décès 622 569 - % Journées perdues par incapacité temporaire 35 871 141 37 422 365 + % Durée moyenne d’une incapacité temporaire Taux de fréquence - % Taux de gravité des incapacités temporaires + % Évolution du nombre de maladies professionnelles MP 2007 2008 Évolution Effectif salariés en France 18 263 645 18 508 530 + % MP réglées 43 832 45 411 + % Nombre d’IP 22 625 23 134 + % Décès 420 425 + % Journées perdues par incapacité temporaire 7 8842 306 8 709 700 + % Évolution du nombre d’accidents de trajet 2007 2008 Évolution Effectif salariés en France 18 263 645 18 508 530 + % AT avec arrêt 85 442 87 855 + % AT avec IP 8646 8 022 - % Décès 384 407 + % Journées perdues pour incapacité temporaire 5 393 824 5 729 426 + % Durée des incapacités temporaires Les risques d’accident par secteur d’activité Comités Techniques Nationaux CTN Salariés AT–arrêt AT-IP Jours IT Décès Métallurgie 19083043 75693 4935 3407797 60 BTP 1617702 129190 9017 7105395 155 Transport, livre, Communication 2137791 94068 6073 5476585 124 Alimentation 2267275 118152 5754 5861809 48 Chimie, Caoutchouc, Plasturgie 464972 14663 1051 767314 9 Bois, Ameublement, Papier-carton 550221 30240 2217 1542862 32 Commerce 2332301 56958 3774 3116432 42 Activité de service I 4053547 39203 2527 1817752 37 Activité de service II et travail temporaire 3176678 145809 8689 8326419 62 TOTAL CTN 18508530 703976 44037 37422365 569 PRINCIPALES CAUSES D’ACCIDENTS Cause AT-arrêt AT-IP Décès Chutes de plain-pied 170994 9951 20 Chutes de hauteur 84852 7467 64 Manutention manuelle 240947 13961 18 Masse en mouvement 40476 1869 35 Levage 23996 1532 26 Véhicules 21724 2180 134 Machines 20992 2075 15 Engins de terrassement 986 111 9 Outils 45365 1864 0 Électricité 771 82 9 Appareils divers 9971 334 9 Autres 42902 2611 230 TOTAL 703976 44037 569 Les risques d’accident par secteur d’activité Comités Techniques Nationaux CTN MP MP-IP Jours IT Décès Métallurgie 6436 2939 1164791 32 BTP 4892 2185 983045 10 Transport, livre, Communication 2163 948 458206 4 Alimentation 8524 2911 1886216 0 Chimie, Caoutchouc, Plasturgie 1744 795 365310 10 Bois, Ameublement, Papier-carton 2971 1307 603015 9 Commerce 1946 901 402038 1 Activité de service I 1451 644 270963 1 Activité de service II et travail temporaire 5767 2005 1138247 2 Évolution des principales maladies professionnelles Nº Intitulé du tableau 2006 2007 2008 57 Affections périarticulaires 29379 30968 33682 30 Affections provoquées par les poussières d’amiante 5864 5336 4597 98 Affections chroniques du rachis lombaire dues aux charges lourdes 2251 2406 2338 42 Affections provoquées par les bruits 1126 1214 1076 30bis Affections consécutives à l’inhalation des poussières d’amiante 867 956 914 97 Affections chroniques du rachis lombaire dues aux vibrations 411 392 377 25 Pneumoconioses consécutives à l’inhalation de silice 320 360 372 79 Lésion chroniques du ménisque 316 347 298 25 Pneumoconioses consécutives à l’inhalation de silice 320 347 274 66 Affections respiratoires de mécanisme allergique 259 249 244 69 Affections provoquées par les vibrations de certaines machines-outils 161 154 157 8 Affections causées par les ciments 111 118 97 ENSEMBLE DES MALADIES PROFESSIONNELLES 42306 43832 45411 Les accidents de trajet par secteur d’activité Comités Techniques Nationaux CTN AT–arrêt AT-IP Jours IT Décès Métallurgie 7434 728 510160 67 BTP 7482 628 522648 45 Transport, livre, Communication 8438 827 576466 35 Alimentation 14512 1126 1004336 65 Chimie, Caoutchouc, Plasturgie 1465 174 96034 11 Bois, Ameublement, Papier-carton 2032 189 150873 10 Commerce 9649 925 594537 31 Activité de service I 13506 1262 647176 40 Activité de service II et travail temporaire 21210 1836 1434165 76 TOTAL CTN 85728 7695 5536395 380 TOTAL CTN 35894 14635 7271831 69 Les responsabilité pénale et civile de l'employeur[modifier modifier le wikicode] Rappels la responsabilité civile vise à réparer les dommages causés à un individu ; la responsabilité pénale contraint l’auteur d’une infraction à répondre de ses actes devant la société. Le droit pénal vise à réprimer les infractions, c’est-à-dire les actions ou les omissions définies et punies par la loi pénale, imputable à leur auteur et ne se justifiant pas par l’exercice d’un droit. Les infractions au Code du Travail[modifier modifier le wikicode] La responsabilité pénale repose sur une seule personne, généralement le dirigeant de l'organisme employeur. Il doit veiller personnellement au respect strict et constant des règles édictées par le Code du Travail dans l'organisme dont il a la charge. Évidemment, cette personne ne peut être présent partout à constamment veiller à cette conformité. Pour pallier cette difficulté, la jurisprudence autorise la délégation de pouvoir, qui transfère ses responsabilités à une tierce personne. Mais cette délégation n'est valable qui si la personne à qui est délégué cette charge dispose également l'autorité de faire appliquer cette gestion ; les compétences nécessaires à cette gestion ; les moyens de faire appliquer cette gestion. La responsabilité du responsable de l'organisme ou de son délégataire sera recherchée quand, par sa faute personnelle, il commet une infraction aux règles d’hygiène et de sécurité. Les infractions sont constatées par les inspecteurs du travail, les gendarmes ou des officiers de police judiciaires. Les infractions au Code Pénal[modifier modifier le wikicode] Le Code Pénal permet de poursuivre simultanément le ou les auteurs des infractions qu’il s’agisse de personnes physiques ou de personnes morales. Le délit[modifier modifier le wikicode] Délit infraction qui constituent des atteintes à la vie et à l’intégrité physique. Exemples de délit liés à l'hygiène et la sécurité homicide involontaire par maladresse, imprudence, inattention, négligence ou manquement à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou les règlements » article 221-6 ; blessures involontaires quand l’incapacité totale de travail qui en résulte est supérieure à 3 mois article 221-19. Le délit de mise en danger d’autrui article 223-1 a été introduit dans le but de prévenir les accidents du travail, en réprimant les manquements graves même en l’absence de dommages. L’infraction est constituée lorsque son auteur a pleinement conscience du risque et lorsque plusieurs conditions sont réunies le risque est immédiat risque d’accident du travail ou de maladie professionnelle ; l’exposition au risque est directe et inévitable pour les salariés ; l’obligation violée est une obligation particulière de sécurité. Le juge détermine les responsabilités en fonction de la loi mais de nombreux éléments influencent les peines prononcées. Ils sont collectés au cours de l’enquête circonstances, historique, paroles prononcées, rôle de chaque intervenant…. Les personnes poursuivies peuvent être à tous les niveaux de l’échelle hiérarchique de l’organisme. S’ils sont condamnées, ce sont les individus qui doivent payer les amendes prononcées. La faute délibérée[modifier modifier le wikicode] S’il y a violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de sécurité ou de prudence, une personne se trouve en faute délibérée » même si son acte est la cause indirecte de l’accident. Par exemple, si une personne a eu connaissance d’un risque, et pour une quelconque raison l’a négligé ou a fait un choix contraire, le juge risque de dire qu’il y a faute délibérée. Cela aggrave la faute et la peine. La responsabilité civile[modifier modifier le wikicode] La responsabilité civile trouve sa base légale dans le Code Civil articles 1134, 1382 et suivants. Une personne physique ou morale voit sa responsabilité civile engagée dès lors qu’elle a causé un dommage à autrui par sa faute ou par la faute des personnes dont elle répond. Ainsi l’employeur est civilement responsable des fautes commises par ses salariés dans les fonctions auxquelles il les a employé. Pour les accidents du travail AT et les maladies professionnels MP, les bases légales de la réparation civile sont prévues, de manière spécifique, par une loi du 09 avril 1988. Ce système d’indemnisation prévoit une réparation, non intégrale, forfaitaire et automatique dès lors qu’un AT ou une MP sont reconnus. En complément la victime peut invoquer l’existence d’une faute inexcusable de l’employeur lui permettant d’obtenir en cas de succès une majoration de son indemnisation. Il y a faute inexcusable aux 4 conditions suivantes faute d’une gravité exceptionnelle dérivant d’un acte ou d’une omission volontaire ; conscience du danger que devait en avoir son auteur ; absence de toute cause justificative ; absence d’élément intentionnel. Les services de sante au travail[modifier modifier le wikicode] L’obligation pour les employeurs d’organiser les services de santé au travail est inscrite dans l’article du Code du Travail. Cette obligation s’applique à tous les établissements industriels ; commerciaux et agricoles ; … À noter que des oblgiations particulières existent dans les domaines suivants transports ; établissements hospitaliers publics ; mines et carrières. Organisation[modifier modifier le wikicode] Suivant l’effectif de l’entreprise ou son activité, les services de santé au travail peuvent être autonomes c'est-à-dire propres à une seule entreprise si la mission médecin du travail dépasse 169 h par mois dans la même entreprise ; inter-entreprises c'est-à-dire communs à plusieurs entreprises ce qui est obligatoire pour toute entreprise dont le temps consacré par le médecin du travail à sa mission ne dépasse pas 20h00 par mois. Il est interdit à une entreprise de faire effectuer les visites par un médecin libéral. Le choix est fait par l’employeur sauf opposition motivée du CE ou à défaut des DP. En cas d’opposition, la décision de l’employeur est subordonnée à l’autorisation du directeur régional du Travail et de l’Emploi. Le temps minimum consacré par le médecin du travail à l’exercice de ses missions dépend de l’effectif de l’entreprise ou de l’établissement ; du risque professionnel encouru. Le Code du Travail fixe ainsi 1 heure par mois pour 20 employés ou assimilés, c’est-à-dire les salariés travaillant en dehors des chantiers ou ateliers ; 15 ouvriers ou assimilés ; 10 salariés soumis à une surveillance médicale particulière y compris les travailleurs temporaires. Rôle du médecin[modifier modifier le wikicode] Le rôle du médecin du travail est exclusivement préventif. À ce titre, il suit personnellement l’état de santé individuel des travailleurs. Dans la limite du secret professionnel, il informe le chef d’entreprise sur les risques présents dans l’entreprise. Il est ainsi le conseiller du chef d’entreprise, des salariés et des représentants du personnel et des services sociaux en matière d’hygiène, de sécurité et de conditions de travail. Trois types de visite sont obligatoires la visite médicale d’embauche qui intervient au plus tard avant la fin de la période d’essai qui suit l’embauche ; la visite médicale périodique visite au minimum annuelle qui a pour objet de s’assurer du maintient de l’aptitude du salarié au poste de travail occupé voir une surveillance médicale particulière lors de certaines expositions ou activités répertoriés définies dans l’arrêté du 11 juillet 1977 ; la visite médicale de reprise après un arrêt de travail qui est obligatoire après une absence pour cause de maladie professionnelle ; après une absence d’au moins 8 jours pour cause d’accident du travail ; après un congé de maternité ; après une absence d’au moins 21 jours pour cause de maladie ou d’accident non professionnel ; en cas d’absences répétées pour raison de santé. Le Médecin du Travail est le conseiller du chef d'entreprise ou de son représentant, des salariés, des représentants du personnel, des services sociaux, en ce qui concerne notamment l'amélioration des conditions de vie et de travail dans l'entreprise ; l'adaptation des postes, des techniques et des rythmes de travail à la physiologie humaine ; la protection des salariés contre l’ensemble des nuisances et notamment contre les risques d'accidents du travail ou d’utilisation des produits dangereux ; l'hygiène générale de l'établissement ; l'hygiène dans les services de restauration si restauration il y a ; la prévention et l'éducation sanitaires dans le cadre de l'établissement en rapport avec l'activité professionnelle. Actions sur le milieu du travail[modifier modifier le wikicode] En milieu du travail, le médecin du travail soulève des questions relatives à l’hygiène et à la sécurité des travailleurs. Aussi, il est le conseiller du chef d’entreprise en ce qui concerne action effectuée lors de son tiers temps l’amélioration des conditions de travail ; l’adaptation des postes, des techniques et des rythmes de travail à la physiologie humaine ; la protection des salariés contre les différents risques. Il est associé à l’étude de nouvelles techniques de production ; à la formation à la sécurité. Documents établis par le médecin de travail[modifier modifier le wikicode] Le rapport annuel d’activité du service de santé au travail [modifier modifier le wikicode] Rédigé chaque année, il est présenté au Comité d’Entreprise avant la fin du quatrième mois qui suit l’année pour laquelle il a été établi. Il est transmis soit à l’inspecteur du travail, soit au directeur régional du travail ainsi qu’au médecin inspecteur régional du travail et de la main d’œuvre. Cette transmission doit avoir lieu dans le délai d’un mois à compter de la présentation devant le Comité d’Entreprise. Le rapport doit être accompagné, le cas échéant, des observations formulées par celui-ci. La fiche d'entreprise [modifier modifier le wikicode] Établissement d'une fiche d'entreprise, sur laquelle sont consignés notamment les risques professionnels et les effectifs de salariés exposés à ces risques. Cette fiche est transmise à la direction de l’entreprise. Elle est tenue à la disposition de l'inspecteur du travail et du médecin inspecteur régional du travail. Le dossier médical[modifier modifier le wikicode] Ce dossier est complété après chaque examen médical. À l'issue de chacun des examens médicaux, le Médecin du Travail MT établit une fiche d'aptitude en triple exemplaire. Il en remet un exemplaire au salarié, en transmet un autre à l'employeur qui le conserve pour être présenté à tout moment, sur leur demande, à l'inspecteur du travail et au médecin inspecteur régional du travail et de la main-d’œuvre. Le troisième exemplaire est conservé dans le dossier médical du salarié. Lorsque le salarié en fait la demande ou lorsqu’il quitte l'entreprise, le médecin du travail établit une fiche de transmission résumant le dossier médical en double exemplaire. Il en remet un exemplaire au salarié et conserve le second dans le dossier médical de l'intéressé. Le dossier médical ne peut être communiqué qu’au médecin inspecteur régional du travail et de la main d’œuvre ou, à la demande de l’intéressé, au médecin de son choix. Les dossiers médicaux font l’objet du secret médical. La conservation de ces dossiers se fait durant 50 ans. Rôle du service de santé[modifier modifier le wikicode] Le personnel infirmier d'entreprise a pour mission, notamment, d'assister le Médecin du Travail dans l’ensemble de ses activités. Il est mis à la disposition du médecin du travail. En matière de surveillance médicale des salariés, le personnel infirmier assure l'accueil des salariés, la préparation des examens médicaux, le secrétariat médical. En matière de prévention et d'assistance, il lui incombe de tenir les registres d'infirmerie et de soins. Il joue un rôle en matière de soins d'urgence, d'éducation sanitaire au sein de l'entreprise. Il peut pratiquer à titre gracieux et exceptionnellement, des actes thérapeutiques prescrits par les médecins traitants des salariés. Rôle du sauveteur secouriste du travail[modifier modifier le wikicode] Le sauveteur secouriste du travail SST est un salarié qui a reçu l'instruction nécessaire pour donner les premiers secours en cas d'urgence. La présence d'au moins un SST est obligatoire dans chaque atelier où sont effectués des travaux dangereux ; dans chaque chantier occupant vingt personnes au moins pendant plus de quinze jours où sont effectués des travaux dangereux. En aucun cas les salariés ainsi formés ne peuvent être considérés comme tenant lieu d’infirmiers diplômés ou assimilés. Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail[modifier modifier le wikicode] Le comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail CHSCT a pour mission de contribuer à la protection de la santé et de la sécurité des salariés de l’établissement et de ceux mis à la disposition de celui-ci par les entreprises extérieures. Création[modifier modifier le wikicode] Dès qu'un organisme emploie plus de 50 salariés il y a obligation de créer un CHSCT. Ce seuil doit avoir été atteint pendant 12 mois consécutifs ou non au cours des 3 années précédentes art L4611-1 du Code du Travail. Le CHSCT est composé du chef d’établissement ; des représentants du personnel désignés par le comité d’entreprise assisté des délégués du personnel sous un collège unique ; du médecin du travail ; de l’animateur sécurité ; de l’inspecteur du travail et du contrôle de la Nombre de personne siégeant au CHSCT en fonction du nombre d'employés de l'organisme. Effectif Représentants maîtrises et cadres Représentants autres personnel Total 0 à 199 1 2 3 200 à 499 1 3 4 500 à 1499 2 4 6 1500 et plus 3 6 9 Fonctionnement[modifier modifier le wikicode] Le CHSCT a obligation de se réunir au moins 1 fois tous les trimestres art. art. Il doit également se réunir à la suite de tout accident ayant entraîné ou ayant pu entraîner des conséquences graves ou à la demande motivée de deux de ses membres représentant du personnel. L’ordre du jour des réunion est établi par le Président et le Secrétaire du CHSCT, 15 jours au moins avant la date fixée pour la réunion sauf CHSCT extraordinaire. Les représentants du personnel doivent bénéficier d’une formation théorique et pratique nécessaire à l’exercice de leur mission art. à De plus, l'un des représentant du personnel est désigné comme secrétaire du CHSCT et est chargé d’établir l’ordre du jour conjointement avec le président. C'est généralement ce secrétaire qui s'occupe de rédiger les procès verbaux des réunions. Les formations dispenser sont également proportionnel à l'effectif de l'organisme 3 jours pour un organisme de moins de 300 salariés ; jusqu'à un maximum de 5 jours sur un mandat de 4 années pour un organisme de plus de 300 salariés. Objectifs[modifier modifier le wikicode] Le CHSCT doit analyser les conditions de travail et les risques professionnels exposant les salariés de l’établissement et en particulier les femmes enceintes. Il est consulté avant tout aménagement important modifiant les conditions d’hygiène et de sécurité ou les conditions de travail et quand l’employeur envisage de mettre en œuvre des technologies introduisant des mutations de travail importantes. Il doit également effectuer des inspections leur fréquence est au moins égale à celle des réunions ordinaires. Il doit de plus s'associer à la recherche de solutions relatives à l’organisation matérielle du travail charge de travail, rythme, pénibilité des tâches à l’environnement physique du travail température, éclairage à l’aménagement des lieux de travail sous la forme d’une étude. Il est chargé de mener des enquêtes internes en cas d’accident du travail ou de maladie professionnelle ou en cas d’incidents répété ayant révélé un risque grave art. R. 4612-2. Moyens d’interventions et d'expertise[modifier modifier le wikicode] Pour atteindre ses objectifs, le chef d’établissement doit fournir au CHSCT les moyens matériel nécessaires à la préparation et à l’organisation des réunions et aux déplacements imposés par les enquêtes ou inspections art. L. 4614-9 ; les moyens d’information et d’expertise, c'est-à-dire toutes les informations qui sont nécessaires pour l’exercice de ses missions ; au moins une fois par an, un bilan et un programme art. L. 4612-16 à L. 4612-18 un rapport écrit faisant le bilan de la situation générale de l’hygiène, de la sécurité et des conditions de travail ; un programme annuel de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail ; des registres imposants des vérifications périodiques de certains appareils ou machines art. R. 4614-5, destiné à l’inscription des mises en demeure de l’inspection du travail et que chaque membre du CHSCT peut demander à consulter ; une notification en cas d’intervention d’une entreprise extérieure art. R. 4515-1, R. 4511-11, R. 4514-2 à R. 4514-5 ou figurent la durée des interventions prévues, le nombre de salariés affectés à ces interventions, ainsi que la date d’inspection préalable ; des possibilités de recours à l’expertise art. L. 4614-12, art. R. 4614-6 à R. 4614-17, le CHSCT pouvant faire appel à un expert en cas de risque grave ; en cas de projet important modifiant les conditions de travail. L’intervention en cas de danger grave et imminent[modifier modifier le wikicode] Quand un salarié a un motif raisonnable de penser que sa situation de travail présente un danger grave et imminent, il peut signaler toute défectuosité qu’il constate dans les systèmes de protection art. L. 4131-2. Il peut être signalé verbalement, mais sera consigné ensuite par écrit sur un registre spécial ouvert au membre du comité. Dès qu’il est avisé du danger l’employeur, accompagné du membre du comité qui le lui a signalé, devra sur le champ procéder à une enquête et prendre des dispositions nécessaires pour y remédier. Le droit de retrait[modifier modifier le wikicode] Le droit de retrait est le droit pour le salarié de se retirer d'une situation de travail présentant un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ». À la différence des procédures d'alerte, attachées à certaines institutions représentatives, le droit de retrait est un droit individuel mais qui peut s'exercer collectivement. Il est fondé sur larticle L. 4131-1 du Code du travail pour les salariés et sur l’article 5-6 du décret no82-453 du 18 mai 1982 pour les fonctionnaires. Le salarié confronté à un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé, a le droit d'arrêter son travail et, si nécessaire, de quitter les lieux pour se mettre en sécurité. L'employeur ou les représentants du personnel doivent en être informés. La décision du salarié ne doit cependant pas créer pour d'autres personnes une nouvelle situation de danger grave et imminent. Le salarié doit avertir immédiatement l'employeur ou son représentant du danger de la situation. Il n'a pas besoin de l'accord de l'employeur pour user de son droit de retrait. Le salarié peut aussi s’adresser aux représentants du CHSCT. L'exercice du droit de retrait n'entraîne ni sanction, ni retenue sur salaire contrairement sur ce point au droit de grève. Le salarié n’est pas tenu de reprendre le travail tant que le danger grave et imminent persiste. La jurisprudence de la Cour de Cassation a cependant modéré l'absence de sanction et de retenue sur salaire qui n'est applicable que lorsque les conditions du droit de retrait individuel ne sont pas réunies, le salarié s'expose à une retenue sur salaire ». Si le salarié est victime d'un accident du travail ou d'une maladie professionnelle alors que l'employeur était informé de la situation de danger, celui-ci est considéré comme ayant commis une faute inexcusable et la rente due au salarié est majorée. Levendredi 26 août 2022, Lorient aura une température proche de 19 degrés et un temps majoritairement couvert. Il n'y aura pas d'intempérie durant la journée. Vérifié le 18 août 2022 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreLe fonctionnaire définitivement inapte à l'exercice de ses fonctions peut être mis, d'office ou à sa demande à la retraite, anticipée pour invalidité. Il a droit à une pension de retraite et éventuellement à une majoration de la pension s'il a besoin de quelqu'un pour accomplir les actes ordinaires de la vie courante. Si l'origine de l'invalidité est professionnelle, le fonctionnaire a également droit à une rente d'invalidité.
ArticleL380-2 du Code de la sécurité sociale Les personnes mentionnées à l'article L. 160-1 sont redevables d'une cotisation annuelle lorsqu'elles remplissent les conditions suivantes : 1°
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La résiliation prendra effet à la date d'échéance du Compte privilège en cours, conformément aux dispositions de l'ARTICLE 8 ci-dessous "Résiliation" sans qu'il puisse pour autant se prévaloir d'un remboursement de l'inscription au prorata temporis. A l'expiration du compte privilège le Club de L'Immo, celui-ci sera, sauf résiliation notifiée par le Membre privilège au Club de L'Immo avant l'échéance du Compte privilège le Club de L'Immo en cours. Article 5 - Informatiques et Libertés En application de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978, il est rappelé que les données nominatives qui sont demandés au Client sont nécessaires au traitement de sa commande et sont destinées à un usage interne par le Prestataire. Ces données nominatives peuvent néanmoins être transmises à des tiers, partenaires du Prestataire. Le Client dispose donc d'un droit d'accès, de modification, de rectification et d'opposition s'agissant des informations le concernant, dans les conditions prévues par la loi et la réglementation en vigueur. Article 6. Propriété intellectuelle Contenus diffusés par le Club de L'Immo Les marques notamment "compte privilège", "mes selections", "mes visites", les logos, les graphismes, les photographies, les animations, les vidéos et les textes contenus sur le site le Club de L'Immo et dans le Service le Club de L'Immo sont la propriété intellectuelle du Club de L'Immo ou de ses partenaires et ne peuvent être reproduits, utilisés ou représentés sans l'autorisation expresse du Club de L'Immo ou de ses partenaires, sous peine de poursuites judiciaires. Les droits d'utilisation concédés par le Club de L'Immo au Membre sont strictement limités à l'accès, au téléchargement, à l'impression, à la reproduction sur tous supports disque dur, disquette, CD-ROM, etc. et à l'utilisation de ces documents pour un usage privé et personnel dans le cadre et pour la durée de l'adhésion au Club de L'Immo. Toute autre utilisation par le Membre et Membre privilège est interdite sans l'autorisation du Club de L'Immo. Le Membre et Membre privilège s'interdit notamment de modifier, copier, reproduire, télécharger, diffuser, transmettre, exploiter commercialement et/ou distribuer de quelque façon que ce soit les Services, les pages du site le Club de L'Immo, ou les codes informatiques des éléments composant les Services et le site le Club de L'Immo. Contenus diffusés par les Membres Le Membre concède au Club de L'Immo une licence d'utilisation des droits de propriété intellectuelle attachés aux contenus fournis par les Membres aux fins de diffusion sur le Site le Club de L'Immo. Cette licence comprend notamment le droit pour le Club de L'Immo de reproduire, représenter, adapter, traduire, numériser, utiliser à des fins publicitaires, commerciales ou non commerciales, de sous-licencier ou de céder les contenus concernant le Membre et Membre privilège informations, images, vidéos, description, critères de recherche, etc., sur tout ou partie du Service le Club de L'Immo sur le site le Club de L'Immo, par email, par Audiotel et/ou dans les mailings du Club de L'Immo et de manière générale sur tous supports de communication électronique e-mail SMS, MMS, WAP, Internet, CD-Rom ou DVD-Rom. Le Membre autorise expressément le Club de L'Immo à modifier lesdits contenus afin de respecter la charte graphique des Services le Club de L'Immo ou des autres supports de communication visés ci-dessus et/ou de les rendre compatibles avec ses performances techniques ou les formats des supports concernés. Ces droits sont concédés pour le monde entier et pour toute la durée d'exécution des présentes Conditions générales d'Utilisation entre le Membre privilège et le Club de L'Immo. Le Membre et Membre privilège s'interdit de copier, reproduire, ou utiliser les contenus relatifs aux autres Membres et Membres privilège autrement que pour les stricts besoins d'utilisation des Services à des fins personnelles et privées. Article 7. Responsabilité et garantie Pour utiliser les Services, le Membre et Membre privilège doit posséder un équipement des logiciels et des paramétrages nécessaires au bon fonctionnement du Club de L'Immo Navigateur IE8 ou équivalent, activation des fonctions Javascript, réception de cookies de session et acceptation de l'affichage de fenêtres "pop-ups". Attention, pour une utilisation complète du Club de L'Immo vous devrez disposer de logiciels Adobe flash à jour téléchargement sur Le Membre doit disposer des compétences, des matériels et des logiciels requis pour l'utilisation d'Internet, ou le cas échéant, de services Internet, téléphoniques et par Audiotel et reconnaît que les caractéristiques et les contraintes d'Internet ne permettent pas de garantir la sécurité, la disponibilité et l'intégrité des transmissions de données sur Internet. le Club de L'Immo ne garantit pas que les Services seront utilisables si l'abonné utilise un utilitaire de "pop-up killer" ; dans ce cas, cette fonction devra être désactivée préalablement à l'utilisation du Service. le Club de L'Immo ne garantit pas que les Services seront utilisables si le fournisseur d'accès Internet du Membre se montre défaillant dans l'accomplissement de sa propre prestation. Dans ces conditions, le Club de L'Immo n'est pas responsable d'un non fonctionnement, d'une impossibilité d'accès, ou de mauvaises conditions d'utilisation du site le Club de L'Immo imputables à un équipement non adapté, à des dysfonctionnements internes au fournisseur d'accès du Membre ou Membre privilège, à l'encombrement du réseau Internet, et pour toutes autres raisons extérieures au Club de L'Immo. Dans ces conditions, le Club de L'Immo ne garantit pas que les Services fonctionneront sans interruption ni erreur de fonctionnement. En particulier, leur exploitation pourra être momentanément interrompue pour cause de maintenance, de mises à jour ou d'améliorations techniques, ou pour en faire évoluer le contenu et/ou leur présentation. Article 8. Résiliation La résiliation d'un Compte privilège décidée par le Membre privilège prend effet à la date d'expiration du compte privilège en cours. Sans préjudice des autres dispositions des présentes, en cas de manquement grave du Membre, le Club de L'Immo résilie le compte du Membre privilège sans préavis ni mise en demeure. Cette résiliation produit les mêmes effets que celle décidée par le Membre. Sans préjudice des autres dispositions des présentes, en cas de manquement du Membre, le Club de L'Immo résilie le compte du Membre 7 sept jours après l'envoi au Membre privilège d'un courrier électronique lui demandant de se conformer aux présentes Conditions d'Utilisation resté infructueux. Cette résiliation interviendra sans préjudice de tous les dommages et intérêts qui pourraient être réclamés par le Club de L'Immo au Membre privilège ou ses ayants droit et représentants légaux en réparation du préjudice subi du fait de tels manquements. Le Membre privilège sera informé par courrier électronique de la résiliation ou de la confirmation de la résiliation de son compte. Les données relatives au Membre seront détruites à sa demande ou à l'expiration des délais légaux courant à compter de la résiliation du compte du Membre privilège. Article 9. Modifications du Club de L'Immo ou des conditions d'utilisation le Club de L'Immo pourra modifier à tout moment les présentes Conditions d'Utilisation. Le Membre privilège sera informé de la nature de ces modifications dès leur mise en ligne sur le site le Club de L'Immo. Les modifications entreront en vigueur un mois après leur mise en ligne sur le Site. Pour les Membre privilège inscrits postérieurement à la mise en ligne des modifications, celles-ci leur seront immédiatement applicables car ils les auront acceptées expressément en devenant Membre privilège. Article 10. Médiateur à la consommation Conformément à l'article L. 612-1 du code de la consommation, les clients ont la possibilité de recourir à MCP MÉDIATION, médiateur de la consommation dans le cas d'un litige qui les opposerait au Club de l'Immo, par Courrier adressé à Médiation de la consommation & Patrimoine, 12 square Desnouettes 75015 PARIS Article 11. Litiges Tous les litiges auxquels le présent contrat pourrait donner lieu, concernant tant sa .validité, son interprétation, son exécution, sa résiliation, leurs conséquences et leurs suites seront soumis aux tribunaux compétents dans les conditions de droit commun. Article 12. Langue du contrat - Droit applicable De convention exprès entre les parties, le présent contrat est régi et soumis au droit français. Article 13. Charte pour la protection des données personnelles Conformément au règlement européen 2016/679 du 27 avril 2016 dit règlement général sur la protection des données » ou RGPD La présente charte ci-après la Charte » décrit la manière dont l'Agence LE CLUB DE L'IMMO 28 rue du colombier - 45000 ORLÉANS - France ci-après l' Éditeur » traite vos données personnelles via " ci-après le Site » en qualité de responsable de traitement. Ce traitement s'effectue en conformité avec le respect de la vie privée et de la protection des données personnelles de ses utilisateurs. Cette Charte vous permet de prendre connaissance des conditions d'obtention, d'utilisation et de conservation de vos données personnelles ci- après les Données » par l'Éditeur. Les Données que nous pouvons collecter, traiter et/ou transmettre lorsque vous accédez et/ou utilisez le Site sont ici décrites. La présente Charte est susceptible d'être mise à jour en fonction de l'évolution de la loi et des données traitées. Si une quelconque clause de la présente Charte devait être déclarée nulle ou contraire à la réglementation, elle sera réputée non écrite mais n'entraînera pas la nullité des autres clauses de la présente Charte. La Charte s'applique pour les Données collectées • via la simple navigation sur le Site ; • lorsque vous effectuez une demande de contact sur le Site. La Charte ne saura s'appliquer aux informations collectées par les tierces parties site, applications, publicités, etc. envoyant l'utilisateur vers le Site. En naviguant sur notre site, vous acceptez l'application de cette Charte sans aucune réserve. Vous restez responsable de la conformité des données que vous fournissez via le Site. Vous pouvez à tout moment les corriger ou les modifier par demande écrite/email. Quelles sont les données collectées ? 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Objectifs de la collecte des données En qualité d'utilisateur du Site, vos Données sont collectées selon votre consentement • pour vous permettre de nous contacter via notre formulaire de contact ou de rappel ; • pour vous permettre de proposer un bien à vendre ou à louer ; • pour vous permettre de demander une estimation de votre bien ; • pour demander des renseignements sur un bien proposé sur notre site Internet ; • pour que nous puissions vous Cookies/Traceurs collectent des données pour • permettre le suivi de votre session pour l'utilisation de nos services comptes connectés, etc. et l'amélioration de votre expérience. Leur refus empêchera l'utilisation complète de notre site ; • analyser et suivre le trafic sur le Site à des fins statistiques pour améliorer le Site et suivre sa performance. Le refus de remplir toute ou partie des données de certains formulaires peut entraîner une impossibilité d'usage des services mis à disposition. Qui traite vos données ? 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De plus, sous réserve des conditions prévues par ladite réglementation pour l'exercice de ces droits, vous bénéficiez • d'un droit à l'effacement de vos Données Hors données comptables dont la conservation de 10 ans est requise par le droit Français - article L123-22 du code de commerce ; • d'un droit à la limitation du traitement de vos Données ; • d'un droit d'opposition au traitement de vos Données pour des motifs légitimes, conformément à l'article 21 du RGPD ; • d'un droit à la portabilité sur les Données que vous avez fournies pour les traitements automatisés fondés sur le consentement ou l'exécution d'un contrat ; • du droit au retrait du consentement, lorsque celui-ci vous avez été demandé. Lorsque le traitement de vos Données est effectué sur la base de votre consentement, vous pouvez retirer celui-ci à tout moment. L'Éditeur est susceptible de vous demander de justifier de votre identité avant tout modification ou suppression de vos données personnelles. 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àl'article L. 380-2 du code de la sécurité sociale, d'un traitement de données à caractère personnel destiné au contrôle de la résidence et modifiant le décret n° 2015-390 du 3 avril 2015 . Décret n° 2017240 du 24 février 2017-relatif au contrôle des conditions permettant de bénéficier de la protection universelle maladie . Décret n° 2016-1212 du 9 septembre 2016. relatif
Art. 376 L'assiette de la contribution dépendance est constituée par les revenus professionnels et les revenus de remplacement ainsi que les revenus du patrimoine. Le taux de la contribution dépendance est fixé à 1,4 pour cent. Art. 377 La contribution dépendance sur les revenus professionnels et les revenus de remplacement est due par les personnes assurées en vertu des articles 1er à 6, à l’exception des personnes visées à l’article 1er, alinéa 1, point 14. Toutefois, elle est à charge de l’assuré principal, de la congrégation ou de l’Etat pour les personnes visées respectivement au numéro 5, au numéro 6 et aux numéros 13 et 15 de l’article 1er, alinéa 1 dans les conditions prévues à l’article 32. Pour les personnes assurées en vertu des numéros 1 à 3, 7 à 12, 16, 18 et 20 de l'article 1er, l'employeur ou l'institution débitrice effectue la retenue afférente sur la rémunération ou le revenu de remplacement. A défaut d'opérer la retenue, il en devient débiteur pur et simple du montant redû. La contribution dépendance sur les revenus professionnels et les revenus de remplacement est déterminée sur base de l'assiette prévue à l'article 33, mais sans application du minimum et du maximum inscrit à l'article 39. Pour les personnes visées à l'article 1er sous 1 à 3, 6 à 12, 16, 18 et 20, l'assiette mensuelle est réduite d'un abattement correspondant à un quart du salaire social minimum pour un travailleur non qualifié âgé de dix-huit ans au moins. Un règlement grand-ducal fixe les modalités particulières de l'abattement en cas de travail à temps partiel, d'occupation ne couvrant pas un mois de calendrier entier, d'occupations multiples, de concours de plusieurs pensions et de concours de pension avec une occupation professionnelle. R. Elle est établie et perçue par le Centre commun de la sécurité sociale suivant les dispositions prévues aux articles 42 et 425 à 435, 445 et 447. Art. 378 La contribution dépendance sur les revenus du patrimoine à charge des contribuables résidents en vertu de l'article 2 de la loi modifiée du 4 décembre 1967 concernant l'impôt sur le revenu est déterminée à raison des revenus nets visés aux numéros 6 à 8 de l'article 10 de la même loi. Le revenu net pour chacune des catégories énumérées est à prendre en considération seulement lorsque son montant est positif. L'établissement et la perception pour le compte de l'organisme gestionnaire de l'assurance dépendance de la contribution dépendance sur les revenus du patrimoine incombe à l'administration des contributions directes. Il en est de même de la contribution dépendance à prélever sur base du revenu net résultant de pensions ou de rentes au sens de l'article 96 de la loi prévisée à l'exception des prestations versées par un régime complémentaire de pension dans le cadre de la loi du 8 juin 1999 relative aux régimes complémentaires de pension et des pensions personnelles ou de survie servies en vertu du livre III du présent code ou de la législation et de la réglementation sur les pensions d'un régime statutaire. Les contribuables résidents ne sont redevables de la contribution dépendance sur les revenus du patrimoine et sur les revenus nets résultant de pensions ou de rentes au sens de l'article 96 de la loi modifiée du 4 décembre 1967 concernant l'impôt sur le revenu, que s'ils relèvent du cercle des bénéficiaires de l'assurance dépendance tel que défini à l'article 352 du présent code. La contribution dépendance sur les revenus du patrimoine ne dépassant pas 24,79 EUR mille francs par an est considérée comme nulle. La contribution dépendance n'est pas à considérer comme impôt sur le revenu et ne rentre pas parmi les dépenses d'exploitation, les frais d'obtention ou les dépenses spéciales prévus dans le cadre de l'impôt sur le revenu. Toutefois les voies de recours en matière d'impôts directs s'appliquent à l'encontre des bases d'imposition des bulletins d'impôt servant au calcul de la contribution dépendance au sens du présent article. La perception et le recouvrement de la contribution dépendance au sens du présent article s'opèrent et se poursuivent dans les mêmes formes et avec les mêmes privilège et hypothèque légale que ceux des contributions directes. Le produit de la contribution dépendance au sens du présent article ainsi que son affectation à l'organisme gestionnaire de l'assurance dépendance est imputé sur le budget des recettes et des dépenses pour ordre de l'État. Un règlement grand-ducal peut régler l'exécution pratique des dispositions du présent article.
\n \n \n\n article l 380 2 du code de la sécurité sociale
ArticlesL241-3 du code de la Sécurité sociale Articles D242-17 et suivants du code de la Sécurité sociale. plafond : Limite au-delà de laquelle les rémunérations ne sont plus prises en considération pour le calcul de certaines cotisations de Sécurité sociale. Sécurité sociale : La Sécurité sociale est un service public, qui assure les travailleurs salariés, les travailleurs
Le médecin du travail Assurer le suivi individuel de l’état de santé des salariés et conseiller l’entreprise Le médecin du travail, salarié de l’établissement ou rattaché à un service interentreprises, est un acteur central de la prévention des risques professionnels. Soumis au secret médical, il veille sur la santé des salariés et conseille l’employeur sur l’ensemble des problématiques liées aux conditions de travail. Spécialistes de la médecine du travail Les médecins du travail sont titulaires d’un diplôme de docteur en médecine, mais aussi d’un certificat d’études spécialisées CES ou d’un diplôme d’études spécialisées DES de médecine du travail ou équivalent. La médecine du travail est donc une spécialité médicale. Son internat est accessible à l’issue du second cycle de médecine par le concours national classant, via le concours européen ouvert aux ressortissants de la communauté européenne y compris français ayant déjà exercé la médecine. Par dérogation, le Code du travail prévoit la possibilité pour les services de santé au travail de recruter un interne de la spécialité qui exerce sous l'autorité d'un médecin du travail du service de santé au travail expérimenté, mais seulement après la délivrance d'une licence de remplacement et l’autorisation par les conseils départementaux compétents de l'ordre des médecins, et ce qu’à titre temporaire, des collaborateurs médecins. Ces médecins s'engagent à suivre une formation en vue de l'obtention de la qualification en médecine du travail auprès de l'ordre des médecins. Ils sont encadrés par un médecin qualifié en médecine du travail qu'ils assistent dans ses missions. Les médecins du travail étrangers hors communauté européenne peuvent également passer un concours pour obtenir une autorisation d’exercice de la médecine en France. Indépendance professionnelle L’indépendance du médecin du travail dans l’exercice de son activité est un élément essentiel de la déontologie de cette profession, qui a été consacré par les textes. L’article R. 4127-5 du Code de la Santé publique précise à cet égard que le médecin ne peut aliéner son indépendance professionnelle sous quelque forme que ce soit ». De même, l’article R. 4127-95 du même code prévoit que, le fait pour un médecin d’être lié dans son exercice professionnel par un contrat ou un statut à un autre médecin, une administration, une collectivité ou tout autre organisme public ou privé n’enlève rien à ses devoirs professionnels et en particulier à ses obligations concernant le secret professionnel et l’indépendance de ses décisions. En aucune circonstance, le médecin ne peut accepter de limitation à son indépendance dans son exercice médical de la part du médecin, de l’entreprise ou de l’organisme qui l’emploie. Il doit toujours agir, en priorité, dans l’intérêt des personnes et de leur sécurité ou sein des entreprises ou des collectivités où il exerce ». Cette indépendance est non seulement reconnue sur un plan réglementaire mais également au niveau législatif. L’article L. 162-2 du Code de la Sécurité sociale dispose que dans l’intérêt des assurés sociaux et de la santé publique, le respect de la liberté d’exercice et de l’indépendance professionnelle et morale des médecins est assuré conformément aux principes déontologiques fondamentaux que sont le libre choix du médecin par le malade, la liberté de prescription du médecin, le secret professionnel…». Statut protecteur Articles L. 4623-1 à L. 4623-8 et R. 4623-2 à R. 4623-24 du Code du travail Outre les procédures spécifiques de nomination et d’affectation, le médecin du travail bénéficie d’une protection particulière en cas de changement et de rupture de son contrat de travail. Cette protection vaut également en cas de rupture anticipée du contrat de travail à durée déterminée CDD, de non-renouvellement du CDD lorsqu’il comporte une clause de renouvellement, de rupture conventionnelle du contrat et de transfert partiel d’entreprise. Ainsi, le licenciement d'un médecin du travail ne peut intervenir qu'après autorisation de l'inspecteur du travail dont dépend le service de santé au travail, après avis du médecin inspecteur du travail. A noter En cas de faute grave du médecin du travail, l'employeur peut prononcer la mise à pied immédiate de l'intéressé dans l'attente de la décision définitive. En cas de refus de licenciement, la mise à pied est annulée et ses effets supprimés de plein droit. De même, la rupture du CDD d'un médecin du travail avant l'échéance du terme en raison d'une faute grave ou de son inaptitude médicale, ou à l'arrivée du terme lorsque l'employeur n'envisage pas de renouveler un contrat comportant une clause de renouvellement, ne peut intervenir qu'après autorisation de l'inspecteur du travail dont dépend le service de santé au travail, après avis du médecin inspecteur du travail. L'arrivée du terme du CDD n'entraîne sa rupture qu'après constatation par l'inspecteur du travail que celle-ci n'est pas en lien avec l'exercice des missions de médecin du travail et ne constitue pas une mesure discriminatoire. Le transfert d'un médecin du travail compris dans un transfert partiel de service de santé au travail par application de l'article L. 1224-1 ne peut intervenir qu'après autorisation de l'inspecteur du travail dont dépend le service de santé au travail, après avis du médecin inspecteur du travail. L'inspecteur du travail s'assure que le transfert n'est pas en lien avec l'exercice des missions du médecin du travail et ne constitue pas une mesure discriminatoire. Rattachement à un service interentreprises ou à un service autonome Dans le secteur privé, les médecins du travail peuvent exercer dans des services interentreprises de santé au travail services communs à plusieurs entreprises, ou bien, dans des services autonomes de santé au travail, propres aux grandes entreprises. Dans la fonction publique, on parle de centres de prévention médicale et de médecins de prévention. © Vincent Nguyen Rôle exclusivement préventif du médecin du travail Le rôle du médecin du travail consiste à éviter toute altération de la santé des travailleurs du fait de leur travail, notamment en surveillant leurs conditions d'hygiène au travail, les risques de contagion et leur état de santé. Il ne pratique pas la médecine de clientèle courante. Le médecin du travail, est le conseiller de l'employeur, des travailleurs, des représentants du personnel et des services sociaux, notamment sur l'amélioration des conditions de vie et de travail dans l'entreprise l'adaptation des postes, des techniques et des rythmes de travail à la santé physique et mentale, notamment en vue de préserver le maintien dans l'emploi des salariés, la protection des travailleurs contre l'ensemble des nuisances, et notamment contre les risques d'accidents du travail ou d'exposition à des agents chimiques dangereux, l'hygiène générale de l'établissement et dans les services de restauration, la prévention et l'éducation sanitaires dans le cadre de l'établissement en rapport avec l'activité professionnelle, la construction ou les aménagements nouveaux, les modifications apportées aux équipements, la mise en place ou la modification de l'organisation du travail de nuit. l'accompagnement en cas de réorganisation importante de l'entreprise. Il conseille également l'employeur, notamment en participant à l'évaluation des risques dans le cadre de l'élaboration de la fiche d'entreprise et dans le cadre de son action sur le milieu de travail, qu'il conduit avec les autres membres de l'équipe pluridisciplinaire, qu'il anime et coordonne. Enfin, il contribue à la veille épidémiologique et à la traçabilité. Rôle de coordonnateur Dans les services de santé au travail directement implantés dans les entreprises services autonomes, le médecin du travail exerce les missions dévolues à ces services en toute indépendance. Il mène ses actions en coordination avec l’employeur, les membres du CHSCT ou à défaut les délégués du personnel et éventuellement les salariés compétents, les personnes ou organismes mentionnés à l'article L. 4644-1 notamment le ou les salariés désignés par l’employeur pour s’occuper des activités de protection et de prévention des risques professionnels. Dans les services de santé au travail interentreprises, le médecin du travail, anime et coordonne l'équipe pluridisciplinaire afin de conseiller les entreprises sur les problématiques liées aux conditions de travail et de veiller à la préservation de la santé des salariés. Par ailleurs, l’équipe pluridisciplinaire se coordonne avec le service social du travail de l'entreprise. Quotidien du médecin du travail Le médecin du travail conduit des actions sur le milieu de travail, avec les autres membres de l'équipe pluridisciplinaire dans les SST interentreprises. Il consacre également au moins un tiers de son temps de travail à l’analyse des conditions de travail dans les entreprises visite des lieux de travail, étude de postes, identification et analyse des risques professionnels, élaboration et mise à jour de la fiche d'entreprise, etc.. Ce temps est également consacré par le médecin du travail à sa mission d'animation et de coordination de l'équipe pluridisciplinaire en santé au travail. Il est chargé du suivi individuel de l’état de santé des salariés. A cet égard, il peut, au même titre que les autres professionnels de santé infirmiers, collaborateurs médecins et internes réaliser des visites d’information et de prévention. Le médecin du travail, et éventuellement le collaborateur médecin si le protocole l’y autorise, sont toutefois les seuls à pouvoir effectuer l’examen médical d’aptitude dans le cadre du suivi individuel renforcé, les visites de reprise, ainsi que les visites périodiques. Le médecin du travail est également chargé d’organiser les visites de préreprise ; d’effectuer les visites de reprise ; de prescrire ou réaliser les éventuels examens complémentaires. Le médecin du travail établit, selon les cas, des attestations de suivi, des avis d’aptitude ou d’inaptitude. Il est juge du contenu des modalités et de la périodicité des suivis individuels. © Gael Kerbaol Toutefois, il peut confier certaines activités, sous sa responsabilité, dans le cadre de protocoles écrits, aux collaborateurs médecins voir la partie collaborateurs médecins », aux internes, aux candidats à l'autorisation d'exercice, aux infirmiers voir la partie Infirmiers », aux assistants de service de santé au travail voir la partie Assistants de service de santé au travail » ou aux autres membres de l'équipe pluridisciplinaire dans le SST. Propositions de mesures du médecin du travail pour le salarié A titre individuel Pour chaque salarié, le médecin du travail est habilité à proposer des mesures individuelles d'aménagement, d'adaptation ou de transformation du poste de travail ou des mesures d'aménagement du temps de travail, justifiées par des considérations relatives notamment à l'âge ou à l’état de santé physique et mentale des travailleurs. L'employeur est tenu de prendre en considération ces propositions et, en cas de refus, de faire connaître par écrit au travailleur et au médecin du travail les motifs qui s'opposent à ce qu'il y soit donné suite art. L. 4624-3 et L. 4624-6 du Code du travail. Sur l’environnement de travail Lorsque le médecin du travail constate la présence d'un risque pour la santé des travailleurs par exemple, un risque lié par exemple à l’environnement de travail, il propose par un écrit motivé et circonstancié des mesures visant à la préserver. L'employeur prend en considération ces propositions et, en cas de refus, fait connaître par écrit les motifs qui s'opposent à ce qu'il y soit donné suite ». De plus, lorsque le médecin du travail est saisi par un employeur d'une question relevant des missions qui lui sont dévolues, il fait connaître ses préconisations par écrit art. L4624-3 du Code du travail. A noter Les propositions et les préconisations du médecin du travail et la réponse de l'employeur, sont transmises au CHSCT ou, à défaut, des DP, de l'inspecteur du travail, du médecin inspecteur du travail ou des agents des services de prévention des organismes de sécurité sociale. Documents rédigés par le médecin du travail Dossier médical Un dossier médical en santé au travail DMST, constitué par le médecin du travail, retrace dans le respect du secret médical les informations relatives à l'état de santé du travailleur, aux expositions auxquelles il a été soumis ainsi que les avis et propositions du médecin du travail. Le dossier contient notamment une copie des éventuels avis médicaux d'aptitude ou d'inaptitude émis par le médecin du travail. Ce dossier ne peut être communiqué qu'au médecin de son choix, à la demande du salarié. En cas de risque pour la santé publique ou à la demande du salarié, le médecin du travail le transmet au médecin inspecteur du travail. Ce dossier peut être communiqué à un autre médecin du travail dans la continuité de la prise en charge, sauf refus du travailleur. Le travailleur, ou en cas de décès de celui-ci toute personne autorisée, dans les conditions posées par le Code de la santé publique articles L. 1110-4 et L. 1111-7, peut demander la communication de ce dossier. Rapport annuel d'activité Le médecin du travail établit un rapport annuel d'activité pour les entreprises dont il a la charge. Pour les SST interentreprises, le directeur du service établit une synthèse annuelle de l'activité du SST qui rend compte de la réalisation des actions approuvées par le conseil d'administration dans le cadre du projet pluriannuel de service, de la réalisation des actions sur le milieu de travail, et des actions menées pour assurer le suivi individuel de la santé des salariés, notamment à partir du rapport annuel établi par chaque médecin du travail pour les entreprises dont il a la charge. Le rapport annuel d'activité est remis par le médecin du travail Pour les services autonomes, au comité d'entreprise ou d'établissement compétent ; Pour les services interentreprises, au conseil d'administration et, selon les cas, au comité interentreprises ou à la commission de contrôle. Fiche d’entreprise Pour chaque entreprise ou établissement, le médecin du travail ou, dans les services de santé au travail interentreprises, l'équipe pluridisciplinaire établit et met à jour une fiche d'entreprise ou d'établissement sur laquelle figurent, notamment, les risques professionnels et les effectifs de salariés qui y sont exposés. La fiche d'entreprise est transmise à l'employeur, et est présentée au CHSCT ou, à défaut, aux délégués du personnel. Elle est tenue à la disposition du directeur régional des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi et du médecin inspecteur du travail et peut être consultée par les agents des services de prévention des Carsat. Pour en savoir plus Aptitude, invalidité rôles respectifs du médecin du travail, du médecin-conseil et du médecin traitant - TM 5 Quel métier faites-vous ? Sensibilisation du public médical aux maladies professionnelles – DV 0291 Circulaire DGT/n°13 du 9 novembre 2012 relative à la mise en œuvre de la réforme de la médecine du travail et des services de santé au travail Site du ministère de la Santé et du Travail / médecine du travail Centre interservices de santé et de médecine du travail en entreprise CISME Haute autorité de santé HAS Mis à jour le 26/11/2014
L380-3-1 du Code de la sécurité sociale français ; Accord . du 7 juillet 2016 entre les autorités suisses et françaises concernant la possibilité d’exemption de l’assurance-maladie suisse. Liens utiles . Pour plus d’informations sur l’assurance-maladie suisse, rendez -vous sur UE/AELE. Pour plus d’informations sur l’assurance maladie

Bénéficient de plein droit des prestations familiales dans les conditions fixées par le présent livre les ressortissants des Etats membres de la Communauté européenne, des autres Etats parties à l'accord sur l'Espace économique européen et de la Confédération suisse qui remplissent les conditions exigées pour résider régulièrement en France, la résidence étant appréciée dans les conditions fixées pour l'application de l'article L. 512-1. Bénéficient également de plein droit des prestations familiales dans les conditions fixées par le présent livre les étrangers non ressortissants d'un Etat membre de la Communauté européenne, d'un autre Etat partie à l'accord sur l'Espace économique européen ou de la Confédération suisse, titulaires d'un titre exigé d'eux en vertu soit de dispositions législatives ou réglementaires, soit de traités ou accords internationaux pour résider régulièrement en étrangers bénéficient des prestations familiales sous réserve qu'il soit justifié, pour les enfants qui sont à leur charge et au titre desquels les prestations familiales sont demandées, de l'une des situations suivantes -leur naissance en France ;-leur entrée régulière dans le cadre de la procédure de regroupement familial visée au chapitre IV du titre III du livre III du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile ;-leur qualité de membre de famille de réfugié ;-leur qualité d'enfant d'étranger titulaire de la carte de séjour mentionnée à l'article L. 424-19 du code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile ;-leur qualité d'enfant d'étranger titulaire de la carte de séjour mentionnée à l'article L. 424-11 du même code ;-leur qualité d'enfant d'étranger titulaire de l'une des cartes de séjour mentionnées à l'article L. 421-14 et aux articles L. 421-22, L. 421-23 et L. 422-13 du même code ;-leur qualité d'enfant d'étranger titulaire de la carte de séjour mentionnée à l'article L. 423-23 du même code à la condition que le ou les enfants en cause soient entrés en France au plus tard en même temps que l'un de leurs parents titulaires de la carte décret fixe la liste des titres et justifications attestant de la régularité de l'entrée et du séjour des bénéficiaires étrangers. Il détermine également la nature des documents exigés pour justifier que les enfants que ces étrangers ont à charge et au titre desquels des prestations familiales sont demandées remplissent les conditions prévues aux alinéas à l'article 20 de l'ordonnance n° 2020-1733 du 16 décembre 2020, ces dispositions entrent en vigueur le 1er mai 2021.

Déclarationdes Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789; Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946; Charte de l'environnement; Codes; Textes consolidés; Jurisprudence. Jurisprudence constitutionnelle; Jurisprudence administrative; Jurisprudence judiciaire ; Jurisprudence financière; Circulaires et instructions; Accords collectifs. Accords de

Les sanctions susceptibles d'être prononcées par la section des assurances sociales de la chambre disciplinaire de première instance ou par la section spéciale des assurances sociales du conseil national de l'ordre des médecins ou des chirurgiens-dentistes ou des sages-femmes sont 1° l'avertissement ; 2° le blâme, avec ou sans publication ; 3° l'interdiction temporaire ou permanente, avec ou sans sursis, du droit de donner des soins aux assurés sociaux ; 4° dans le cas d'abus d'honoraires ou d'actes ou prestations réalisés dans des conditions méconnaissant les règles prévues à l'article L. 162-1-7, le remboursement à l'assuré du trop-perçu ou le reversement aux organismes de sécurité sociale du trop-remboursé, même s'il n'est prononcé aucune des sanctions prévues ci-dessus. Les sanctions prévues aux 3° et 4° ci-dessus peuvent faire l'objet d'une publication. Si, pour des faits commis dans un délai de cinq ans à compter de la notification au praticien d'une sanction assortie du sursis et devenue définitive, la juridiction prononce la sanction mentionnée au 3°, elle peut décider que la sanction pour la partie assortie du sursis devient exécutoire sans préjudice de l'application de la nouvelle sanction. Est considérée comme non avenue une sanction, pour la partie assortie du sursis, lorsque le praticien sanctionné n'aura commis aucune nouvelle faute suivie d'une sanction dans le délai fixé à l'alinéa précédent. Les sanctions prévues au présent article ne sont pas cumulables avec les peines prévues à l'article L. 4124-6 du code de la santé publique lorsqu'elles ont été prononcées à l'occasion des mêmes faits. Si les juridictions compétentes prononcent des sanctions différentes, la sanction la plus forte peut être seule mise à exécution. Les décisions devenues définitives ont force exécutoire. Elles doivent, dans le cas prévu au 3° du premier alinéa, ou si le jugement le prévoit, faire l'objet d'une publication par les soins des organismes de sécurité sociale.
ArticleL380-3-1. I.-Les travailleurs frontaliers résidant en France et soumis obligatoirement à la législation suisse de sécurité sociale au titre des dispositions de l'accord du 21 juin 1999 entre la Communauté européenne et ses Etats membres, d'une part, et la Confédération suisse, d'autre part, sur la libre circulation des

A-AA+PRMartinevSecrétaire comptable en entrepriseEcrit le 07/02/2013 11060VOTERBonjour,J'ai cherché sur votre site mais n'ai pas trouvé de réponse à mes questions, je ne sais pas trop comment enregistrer le bulletin de salaire suivant d'une de nos salariés en congé maternité. Nous pratiquons la brut 2 087,14 €I. J. prénatales brutes - 1 657,26 €Garantie du net - 329,63 €Salaire brut soumis à cotisations 100,25 €Total des retenues salariales 22,23 €I. J. prénatales nettes 1 546,28 €Net à payer 1 624,30 €Je vous remercie de votre Comptabilisation de salaire avec ijss et garantie du netEcrit le 07/02/2013 1201+1VOTERBonjour,En 641, le brut 2 087,14 - 329, 645, les charges 421, le net 1 624,30 €.En 43, la somme des charges patronales et retenues salariales, ventilées par bref, comme pour un salaire normal si ce n'est en 641 où il faut corriger par le montant de garantie du IJ nettes seront comptabilisées lors de leur encaissement sur le compte bancaire comptes 79. en entrepriseRe Comptabilisation de salaire avec ijss et garantie du netEcrit le 07/02/2013 13050VOTERBonjour,Je suis allé un peu vite pour le montant en 641. En effet, en vérifiant après coup la cohérence des totaux, je vois qu'il faut aussi retrancher au brut l'écart entre le montant brut et le montant net des IJ. Au final, en 641, c'est 1 646,53 € qu'il faut comptable en entrepriseRe Comptabilisation de salaire avec ijss et garantie du netEcrit le 12/02/2013 14120VOTERBonjour,Merci pour votre réponse mais je ne comprend pas, je pensais plutôt enregistrer 105,25 € en 641 puisque c'est le montant brut qui est soumis à cotisation. Et dans quel compte enregistrer les IJ brutes ?Bon en entrepriseRe Comptabilisation de salaire avec ijss et garantie du netEcrit le 12/02/2013 18560VOTERBonsoir,Il faut comptabiliser en 641, en plus de la base de calcul des cotisations, le montant net des indemnités journalières de sécurité sociale que l'employeur a reçu de la sécurité sociale, soit 100,25 + 1 546,28 = 1 646,53 €.Si vous ne le faites pas, vous ne pourrez avoir une écriture de paye équilibrée entre débits et crédits Débit = compte 641 + compte 645 que vous n'indiquez pas, appellons ce montant CP = 1 646,53 + = Compte 421 + total des comptes 43 = CP + retenues salariales = 1 624,30 + CP + 22,23 = 1 646,53 + CPIl n'y a pas d'écriture à passer par ailleurs pour les IJ comptable en entrepriseRe Comptabilisation de salaire avec ijss et garantie du netEcrit le 22/02/2013 15030VOTERBonjour,Merci pour votre fin de partager partager A-AA+PRTopPublicité

1 Une cotisation à la charge des assurés mentionnés aux 1° à 3° du II de l'article L. 325-1, assise sur leurs revenus d'activité tels qu'ils sont pris en compte pour la détermination de l'assiette des cotisations définie à l'article L. 242-1, précomptée par leurs employeurs au bénéfice de ce régime et recouvrée par les unions pour le recouvrement des cotisations de sécurité Vérifié le 14 mars 2022 - Direction de l'information légale et administrative Premier ministreVous êtes considéré invalide au sens de la Sécurité sociale si, après un accident ou une maladie survenu dans votre vie privée d'origine non professionnelle, votre capacité de travail ou de gain est réduite d'au moins 2/3 66%.Ainsi, vous êtes considéré comme invalide si vous n'êtes pas en mesure de vous procurer un salaire supérieur au 1/3 33% de la rémunération normale des travailleurs de votre catégorie, et travaillant dans votre personnes invalides sont classées, par la Sécurité sociale, selon les 3 catégories suivantes Invalides incapables d'exercer une activité rémunéréeInvalides absolument incapables d'exercer une profession quelconqueInvalides absolument incapables d'exercer une profession et se trouvant dans l'obligation de recourir à une tierce personne pour effectuer les actes ordinaires de la vie couranteLa reconnaissance de l'invalidité par la Sécurité sociale vous permet de percevoir une pension pour remplacer la perte de salaire entraînée par votre état de demande doit être formulée auprès de votre organisme de Sécurité dépendez de la CPAMOù s’adresser ?Vous dépendez de la MSAOù s’adresser ?La notion d'invalidité ne doit pas être confondue avec celle d'inaptitude, qui est évaluée par la médecine du travail. En effet, un salarié inapte n'a pas systématiquement droit au versement d'une pension d'invalidité. De même, un assuré invalide n'est pas systématiquement inapte au Si votre métier consistait à porter des charges lourdes et que vous avez un accident vous causant des douleurs chroniques au dos, vous pouvez être déclaré inapte sans pour autant bénéficier d'une pension d'invalidité. Vous ne pouvez plus exercer votre métier d'origine, mais votre capacité de gain reste entière sur un autre métier par exemple, métier de bureau.Enfin, la pension d'invalidité peut, sous certaines conditions, être cumulable avec d'autres indemnités ou peut m'aider ?Trouvez les acteurs qui peuvent répondre à vos questions dans votre régionQuestions ? Réponses !Cette page vous a-t-elle été utile ? 8hmCXql.
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  • article l 380 2 du code de la sécurité sociale